Les AirPods 2 avec boîtier de charge sans fil moins chers que les AirPods 2 avec boîtier uniquement Lightning, c'est possible sur la version allemande d'Amazon en ce moment. En passant commande sur Amazon.de, les écouteurs avec leur boîtier Qi coûtent 158,90 € (en prenant en compte l'envoi vers la France). Par rapport aux prix d'Apple, c'est 20 € de moins que la version Lightning uniquement et 70 € d'économie sur le même produit.

C'est l'une des meilleures promotions à ce jour sur les AirPods 2 avec boîtier de charge sans fil.

Voilà une très bonne manière¹ pour Oculus d'attirer de nouveaux amateurs de réalité virtuelle, qui ne sont pourtant pas si nombreux. À partir du mois d'octobre, Facebook — propriétaire des casques VR Oculus — va exiger des nouveaux clients de la marque de se connecter avec un compte Facebook. Il ne sera plus possible de créer un compte spécifique pour l'écosystème Oculus. Les utilisateurs possédant déjà un tel compte pourront continuer à s'en servir pour se connecter à un casque actuel et à venir, jusqu'au 1er janvier 2023. Ils pourront s'ils le souhaitent fusionner leurs comptes Oculus et Facebook existants.

Passée cette date, il faudra impérativement un compte Facebook pour pouvoir utiliser un appareil d'Oculus. Autrement dit, si vous appréciez les casques Oculus (ce qui peut se concevoir) mais que vous détestez Facebook (ce qui peut se concevoir), il faudra faire un choix. Selon le constructeur, ce changement facilitera la vie des utilisateurs qui n'auront plus besoin que d'un seul compte pour « trouver, se connecter et jouer avec des amis en VR ».

Le billet d'Oculus n'oublie pas d'évoquer les craintes légitimes que l'on peut avoir quand Facebook tourne un peu trop près de ses données. Le fabricant précise qu'il pourra les utiliser pour « améliorer l'expérience sur l'ensemble des produits Facebook, promouvoir la sécurité et l'intégrité de [ses] services, proposer du contenu personnalisé, dont des publicités, sur les produits Facebook ». Tout cela n'a rien de très réjouissant mais malheureusement, il fallait s'y attendre quand Facebook a mis sa grosse patte sur Oculus.

Le Beats Solo3 n'a jamais été aussi abordable. La Fnac vend le casque 129 € au lieu de 199 € en noir mat et en blanc verni. À sa sortie en 2016, ce casque supra-auriculaire (qui appuie sur les oreilles) coûtait 299 €. Son prix a baissé de 100 € l'année dernière à la suite de la sortie du Solo Pro. La réduction de la Fnac est valable jusqu'au 28 septembre, dans la limite des stocks disponibles.

Même si son successeur est globalement meilleur, le Solo3 est une bonne affaire à 129 €. Il dispose d'une bonne qualité audio, d'une longue autonomie et s'intègre bien à l'écosystème Apple.

À noter aussi une autre offre qui ressemble à une erreur : le Beats Solo Pro beige vendu par la Fnac à 89 €, sous réserve de disponibilité.

Allons bon, Google vient soudainement de se rappeler l’existence de Wear OS ! Le système d’exploitation pour les montres connectées n’a pas été l’objet d’une très grande affection de la part du moteur de recherche ces dernières semaines mois, en tout cas quand on compare avec les nouveautés régulières de watchOS.

Google promet aujourd’hui une grosse mise à jour pour cet automne, qui se concentrera d’abord et avant tout sur l’amélioration de l’existant. À commencer par la prise en charge des plateformes Snapdragon 4100 et 4100+ présentées il y a peu de temps par Qualcomm.

Cette nouvelle version de Wear OS va également accélérer le lancement des applications avec des gains attendus de l’ordre de 20%. Toujours bon à prendre ! Google annonce aussi des améliorations dans l’interface pour faciliter les contrôles et la gestion des différents modes de la montre et des exercices sportifs. Le jumelage avec un smartphone va être simplifié.

Une future mise à jour apportera également une nouvelle application Météo plus complète et plus facile à consulter. Le moteur de recherche n’a cependant rien dit sur une hypothétique adaptation pour Wear OS de l’app YouTube Music, qui va remplacer Google Play Music d’ici la fin de l’année. Pour le moment, l’entreprise se contente de dire qu’il sera possible d’utiliser une montre comme télécommande audio du smartphone, mais Google Play Music permet bien plus, à commencer par le stockage de musique à même la montre.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les AirPods ne sont pas réputés pour leur facilité de démontage et de réparation : avec une note iFixit de 0/10, les écouteurs sans fil d’Apple sont une merveille de miniaturisation mais un véritable enfer à désassembler. Un choix d'ingénierie inévitable, dicté par la taille minuscule des composants ? Avec ses Galaxy Buds Live, la réponse de Samsung aux AirPods Pro d’Apple, l’entreprise coréenne prouve que ce n’est pas nécessairement une fatalité.

En effet, lors du démontage des petits écouteurs en forme de haricots (de flageolets ?), iFixit s’est rendu compte que les Buds Live étaient extrêmement faciles à désassembler, en tout cas comparés aux AirPods : les deux moitiés d’un écouteur se séparent sans trop d’effort, à l’aide d’un peu de pression et d’un petit outil (type médiator de guitare). On est loin des montagnes de colle utilisées par Apple.

La batterie elle-même est assez aisée à remplacer, bien que sa rareté complique une éventuelle réparation. Détail amusant : malgré le fait que Samsung ait opté pour le nom de « Galaxy Buds Live », on trouve encore le mot bean (« haricot ») inscrit sur un câble à l’intérieur de chaque écouteur, preuve que même Samsung n’ignore rien de la forme très particulière de ses petits écouteurs.

Au final, les Buds Live reçoivent une note iFixit de 8/10, ce qui est une belle performance dans cette catégorie de produits, et surtout une preuve que même les appareils miniaturisés n’ont pas nécessairement besoin d’être jetables.

Tesla, le plus gros constructeur de voitures électriques au monde, travaille apparemment sur… une montre connectée. En tout cas, l’entreprise d’Elon Musk est citée dans un document de la FCC, l’autorité de certification américaine qui valide notamment tous les produits sans fil, pour certifier une montre destinée aux enfants. C’est le constructeur norvégien Xplora Technologies qui a soumis cette demande, en indiquant que « Tesla Motors, Inc. » est impliqué dans sa création.

Pourquoi est-ce que Tesla travaillerait sur une montre connectée taillée pour les enfants ? L’hypothèse semble farfelue, mais cette découverte pourrait indiquer que le constructeur automobile a acheté Xplora Technologies. Comme le note le site Electrek qui rapporte l’information, ce passage devant le FCC prouverait que l’entreprise compte commercialiser un produit sur le sol américain, mais sans doute pas la montre pour enfants prévue à l’origine.

Une hypothèse intéressante serait que cette montre connectée serve de relai avec les véhicules de Tesla. Elle pourrait faire office de clé, et pourquoi pas d’écran de contrôle sur le véhicule pendant la charge notamment. C’est une hypothèse intéressante, mais en même temps, pourquoi s’embêter à créer une autre montre connectée quand des produits comme l’Apple Watch existent sur le marché ?

Tesla aime bien travailler avec ses propres technologies au maximum, mais l’hypothèse de sortir une montre connectée reste assez surprenante…