Un objet connecté tel qu'un éthylotest a-t-il des chances de trouver une place durable dans la voiture de monsieur tout le monde ?Olythe, le concepteur français de cet accessoire a démarré sa commercialisation depuis quelques semaines. Deux publics sont visés, les entreprises disposant de flottes de véhicules ou d 'autres secteurs professionnels et le particulier.
Pour un usage personnel, sauf à être un habitué des déjeuners arrosés, le prix peut s'avérer dissuasif. Il faut compter 250 € pour l'Ocigo. Celui-ci a les dimensions d'une très grosse cigarette électronique, on souffle dedans et par un procédé de spectrométrie infrarouge, la présence et le taux d'alcool dans l'air expiré par le sujet seront immédiatement quantifiés.
La valeur est affichée sur l'accessoire et/ou sur son smartphone avec l'app compagnon. En plus d'une mesure instantanée, l'app va évaluer le temps de repos nécessaire avant que vous reveniez à un seuil compatible avec la conduite. Dans sa version entreprise, tous les éthylotests dont sont équipés les employés peuvent faire remonter leurs relevés, via l'app, vers une plate-forme centrale.
Olythe fait valoir sa conformité à la norme EN 16280 utilisée pour les éthylotests électroniques portatifs ou fixes. L'Ocigo fonctionne sur batterie, il n'y a pas de limites d'usages particulières et trois embouts sont fournis.
Le produit est disponible, nous a expliqué le responsable presse mais Olythe doit encore mettre en place une boutique de vente en ligne. Pour l'heure ça se fait par un contact par mail auprès de la société.
La réalité augmentée, c’est sympa pour les jeux ou pour connaître sa pointure. Mais cette technologie peut aussi se montrer très utile pour visiter des lieux célèbres dans le confort de son chez-soi. Personne ne voudrait de la vraie statue de la Liberté dans son jardin ou dans son salon ; mais grâce à l’app Statue of Liberty, c’est une version virtuelle du monument que l’on peut placer, et admirer, n’importe où.
L’app offre plusieurs expériences de réalité augmentée. On peut ainsi poser le pied de la statue sur son plancher (et l’afficher en taille réelle…), placer la statue sur le bureau pour tourner autour et en connaitre davantage sur sa structure interne, ou encore adopter le point de vue de la torche dans un saisissant panoramique de New York à diverses heures de la journée.
Tout cela est rudement bien fichu, mais cela ne s’arrête pas là. L’application comprend aussi de nombreux articles sur la genèse française de la statue de la Liberté, son transport, la restauration du monument. Une véritable encyclopédie à portée de main (mais uniquement en anglais, malheureusement). En bonus, si on a la chance de jouer les touristes sur Liberty Island, l’app fait également office de guide audio. On comprend dès lors pourquoi Tim Cook lui-même en a fait la promotion.
Quelles fabuleuses surprises nous réserve watchOS 5.3 ? Impossible de le dire tout de suite, mais on en aura une idée un peu plus précise d’ici quelques heures, le temps d’installer la première bêta de cette nouvelle version, fournie par Apple aux développeurs !
La version finale de watchOS 5.2.1, livrée cette semaine, a activé l’application ECG dans plusieurs nouveaux pays et surtout, ajouté des cadrans Fierté supplémentaires (que l’on peut agiter avec la couronne digitale). On n’espère pas moins pour watchOS 5.3…
Si l'on en juge par les délais affichés sur l'Apple Store, il est compliqué de trouver rapidement les nouveaux AirPods. Le modèle récent avec boitier à induction est livrable entre le 7 et le 17 juin par Apple. Il ne faut pas s'y fier, en Apple Store ils sont partout marqués comme dispos en stock.
Si on cherche, en plus, un prix réduit — toutes proportions gardées — il faut aller ailleurs. Chez Amazon, la seconde génération avec le boitier sans induction est à 174,80 € (au lieu de 179 €) avec une attente jusqu'au 22 mai. Le modèle avec induction est à son tarif habituel de 229 € et en stock.
Pour la première génération d'AirPods, le vendeur la propose à 157,50 €, sans attente. Ce modèle est très brièvement descendu à 150 € il y a une quinzaine de jours.
Chez Rakuten ces "AirPods 1" sont à 153,69 € mais là c'est un vendeur tiers de Hong-Kong (il n'y a pas de frais de port). On peut les trouver aussi à 150 € chez Cdiscount mais c'est sans frais de ports (entre 10 et 20 € lorsqu'on n'est pas abonné à la formule payante "Cdiscount à volonté").
C'est le problème avec ces "anciens" modèles, les remises restent modérées, même lorsqu'on est prêt à commander à l'étranger.
« Votre appareil vous accompagne au quotidien. Et vous comptez sur lui », dit Apple sur le site consacré à sa démarche environnementale : « il est donc conçu pour résister à des années d’utilisation et continuer à servir longtemps. » C’est indubitablement le cas de l’iPhone, de l’iPad, et du Mac. Mais les AirPods ? Sont-ils vraiment « fabriqué[s] dans des matériaux durables » ?
Cette question est d’une importance majeure : Apple vend des millions d’AirPods. Au même titre que leurs ancêtres les écouteurs blancs de l’iPod, ils ont acquis un statut iconique, jusqu’à devenir un véritable phénomène social. Après deux ans d’utilisation quotidienne toutefois, ils quitteront vos oreilles pour rejoindre le bac de recyclage de votre boutique Apple locale dans le meilleur des cas, le fond de votre tiroir au pire.
En cause : leur petite batterie. Avec le temps et l’usage, ses capacités se dégradent, c’est normal. Mais elle ne peut pas être remplacée. Peut-elle au moins être extraite, et les composants des AirPods peuvent-ils être revalorisés ? Le rapport de « responsabilité environnementale » d’Apple n’en dit rien. Il ne mentionne qu’une seule fois les AirPods, et encore, seulement dans une liste de produits assemblés dans des usines certifiées par le cabinet de consulting UL.
Depuis plus de dix ans, Apple publie des « fiches environnementales » pour tous ses produits. Tous… sauf les AirPods1. On pourrait objecter que les accessoires comme les claviers et les souris n’ont jamais été concernés par ces fiches. Mais ils le devraient, et d’autres périphériques comme l’Apple Watch et le HomePod en possèdent une. L’Apple Watch est-elle moins accessoire que les AirPods, elle qui ne peut être configurée sans l’aide d’un iPhone ?
Or ces fiches sont très détaillées : elles donnent le rendement des chargeurs, la liste des matériaux utilisés pour la fabrication des appareils, et même une estimation de la quantité de gaz à effet de serre émis lors de la durée de vie du produit. Elles font partie d’un ensemble de documents qui permettent de comprendre l’impact environnemental des appareils frappés d’une Pomme, et de prendre des décisions informées.
Apple s’est érigée en championne du développement durable. Avec raison : achetez un iPhone ou un Mac aujourd’hui, et vous avez l’assurance qu’il recevra des mises à jour logicielles pendant cinq à sept ans, et que vous pourrez trouver des pièces détachées pendant« les cinq années suivant la fin de la production de ces appareils ». Après des années de fiers services, vous pourrez enfin le ramener en boutique, où il entrera dans le circuit de recyclage et de revalorisation le plus perfectionné de l’industrie.
Mais achetez une paire d’AirPods aujourd’hui, et vous n’aurez pas les mêmes garanties. La batterie peut-elle être séparée du plastique de manière sure ? Apple vante les capacités de son robot démonteur d’iPhone, mais rien ne laisse entendre que les AirPods puissent être désossés et recyclés de la même manière. « Les produits les plus avancés sont ceux dont l’impact environnemental est le plus faible », dit Apple — mais quel est l’impact environnemental des AirPods ?
Le fait est que vous pouvez prendre tous les arguments de son site sur l’environnement, et placer les AirPods en contrargument. L’ambition d’excellence environnementale d’Apple ne peut s’arrêter aux principaux produits — elle doit s’étendre aux accessoires, qui sont précisément les produits qui ont le plus de chance de finir dans une décharge. Après trois ans et un succès fulgurant, quelques informations sur l’impact environnemental des AirPods ne seraient probablement pas de trop.
De la même manière, les AirPods sont absents de la page dédiée à l’exposition aux radiofréquences. Pourtant, Apple publiait le DAS de l’Apple Watch avant même qu’elle ne soit dotée d’un modem cellulaire. ↩︎
Les tarifs de réparations sur les produits Beats ont évolué… à la baisse. Ce n'est pas une mauvaise nouvelle, quand bien même les écarts ne sont pas monstrueux. Ils sont de l'ordre d'une petite dizaine d'euros dans le meilleur des cas mais tous les articles sont concernés, les anciens comme ceux toujours en vente, et le remplacement des batteries par la même occasion.
Ces réparations hors garantie ne s'appliquent pas si le casque « s'est brisé en plusieurs morceaux » précise la fiche technique.
En vrac, quelques exemples : un Solo3 Wireless (249 € neuf) est réparable pour 151 € au lieu de 161 €. Le Studio 3 Wireless coûtait 241 € à réparer, c'est maintenant 231 € (349 € neuf). Les BeatsX dont la fiabilité est sujette à caution sont passés de 101 à 97 € tandis que le produit neuf coûte… 99 €.
Les Powerbeats Pro sont les nouveaux écouteurs de Beats qui ont plus d’un tour dans leur sac : ils sont vraiment sans fil, ils intègrent la puce H1 des AirPods 2e génération, et ils sont mieux adaptés à une pratique sportive. En plus, le son devrait être meilleur que les écouteurs d’Apple ! Petit tour du propriétaire avant le test complet, d’ici quelques jours.
Disponibles pour le moment uniquement aux États-Unis et au Canada dans leur livrée noire (les autres coloris sont attendus pour cet été), les Powerbeats Pro ne font pas mystère de leur clientèle : les sportifs sont tout spécialement visés, avec leur résistance à la sueur et à l’eau. Cela ne les disqualifie pas pour autant auprès de ceux qui recherchent une meilleure isolation que ce que peuvent offrir les AirPods. Après tout, ces nouveaux écouteurs sont des intra-auriculaires.
On verra dans les prochains jours comment se comportent les Powerbeats Pro en matière de qualité audio. Tout comme pour l’autonomie et le confort d’utilisation… En attendant, voici quelques photos de déballage et nos premières impressions.
Les Powerbeats Pro seront commercialisés au prix de 249,95 €, quand ils seront disponibles en France (le site de Beats annonce un lancement en mai).