HomeRun crée des complications HomeKit personnalisées

Mickaël Bazoge |

L’application Maison disponible sur l’Apple Watch est pratique… pour peu que l’on n’ait pas des dizaines d’accessoires et de scènes, car il est rapidement difficile de s’y retrouver. La complication Maison, disponible pour tous les cadrans y compris Infographe (depuis watchOS 5.1.2), n’est qu’un raccourci vers l’app. Et il n’est parfois pas évident de faire appel à Siri.

C’est là que l’application HomeRun [3,49 €] entre en scène. Celle-ci accède aux réglages HomeKit du domicile de l’utilisateur et génère une grille de boutons que l’on peut ensuite activer depuis l’app watchOS.

L’agencement de la grille, la couleur des boutons, la forme de l’icône ainsi que la taille des boutons sont à personnaliser dans l’application iOS. Déjà, tout ça c’est plutôt sympa. Mais ce qui l’est encore plus, c’est que la version 1.1 apporte non seulement la localisation en français, mais aussi la possibilité de créer des complications !

Après avoir sélectionné le cadran où les complications HomeRun trouveront une place, il suffit d’éditer le comportement de la complication à proprement parler, avec là aussi la personnalisation de l’icône et sa couleur.

Le tout est plutôt bien fait et assez intuitif (même si on aurait aimé qu’Apple propose cette fonctionnalité en standard). Mais quoi de plus normal pour le développeur de HomeScan, HomePass et HomeCam !

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Aperçu du Totm, un socle en bois 100 % français pour Apple Watch

Mickaël Bazoge |

Padawanlab, un studio français de développement d’applications iOS et watchOS, s’est lancé l’an dernier un pari sacrément gonflé : celui du matériel. La fine équipe a conçu un accessoire pour Apple Watch, ou plutôt deux qui fonctionnent de concert : les Totm et Travl. Empilés l’un sur l’autre, ils se transforment en socle capable de mille prouesses, en particulier une batterie externe et l’automatisation HomeKit.

Des deux compères, c’est le Travl le plus ambitieux. C’est lui qui contient toute l’électronique et la batterie, et c’est la raison pour laquelle son développement demande plus de temps (lire : Totm+Travl : les défis posés par la conception d'un accessoire Apple Watch).

En attendant, le Totm est maintenant disponible : décliné en deux essences de bois PEFC du Jura (chêne et hêtre) 100% durable et fabriqué en France, ce socle est évidé à l’intérieur pour permettre au galet de recharge et à son câble de trouver une place.

La mise en place est simple, même si le câble est un peu contraint à l’intérieur du Totm. Il faut qu’il soit bien plié à la sortie du galet, pour faire une boucle qui file ensuite par l’ouverture formée à l’arrière du socle.

Un capuchon se referme sur le fond du Totm1. Ce rond de bois équipée d’une plaque de métal se fixe sur un aimant présent dans le socle. Si le câble n’est pas suffisamment plié, il peut empêcher le capuchon de bien se positionner.

Les concepteurs de l’accessoire, à l’écoute de leurs clients, envisagent de concevoir un passage de câble sur le côté afin d’éviter ce problème. Des tests sont d’ailleurs en cours avec cette solution.

Le Totm est de toutes manières censé fonctionner de pair avec le Travl, l’un au-dessus de l’autre. C’est ensemble que ce duo dévoilera son plein potentiel. Néanmoins, le socle remplit d’ores et déjà son office de manière satisfaisante : l’Apple Watch s’y fixe aisément, elle bascule en mode Table de nuit et elle se recharge comme convenu.

Le Totm est compatible avec toutes les Series (y compris le modèle de 2015). Il est possible de graver un logo à l’avant du socle et/ou un texte à l’arrière. Le socle est vendu 36 € (plus 5 € de frais de port pour un envoi en France).


  1. Ce capuchon a été fourni à tous ceux qui ont investi dans le projet Kickstarter. Il ne sera peut-être pas fourni avec la version commerciale du Totm. ↩︎

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Guide d’achat Apple Watch : que choisir entre la Series 3 et la Series 4 ?

Mickaël Bazoge |

Êtes-vous plutôt Series 3 ou Series 4 ? À l’heure des commandes au père Noël (surtout s’il pioche directement dans votre compte en banque), la question peut effectivement se poser. L’Apple Watch Series 3 a quelques arguments à faire valoir face à sa rutilante successeure.

Le premier atout de l’Apple Watch Series 3, c’est son prix bien sûr. Après le lancement de la Series 4, Apple a conservé à son catalogue l’ancienne génération, tout en en réduisant les tarifs.

Apple Watch Series 4 44 mm au premier plan, la Series 3 42 mm en arrière.

La montre débute ainsi à 299 € pour une GPS 38 mm (329 € pour une GPS 42 mm), et à 399 € pour la GPS + cellular 38 mm (429 € pour la 42 mm). Mieux encore, Apple propose toujours le modèle Nike+ avec son bracelet à trous et surtout, ses cadrans exclusifs tous très sympathiques.

La Series 3 a aussi une autre particularité : maintenant qu’elle ne représente plus le haut de gamme de ses montres, Apple n’a aucune difficulté à faire des promos sur cette génération. On trouve actuellement sur Amazon, distributeur autorisé de produits Apple, une Series 3 GPS + cellular boîtier argent 42 mm à 389 € au lieu de 429 €…

En face, la Series 4 se décline en version GPS à partir de 429 € (40 mm) et 459 € (44 mm), et en GPS + cellular à 529 €/559 €. Des prix qui grimpent en fonction de la finition du boîtier et du bracelet désiré. La facture peut donc chauffer assez vite…

Un poignet plus joli

Il y a la question du prix, particulièrement sensible ces jours-ci, mais si le budget le permet, il est difficile de rester insensible aux charmes de la Series 4. À commencer par cet écran aux coins arrondis qui confère à la montre un aspect organique inattendu — et qui fait toujours son petit effet aujourd’hui.

Avec des boîtiers et des écrans plus grands, la Series 4 offre une surface d’affichage plus étendue : 32% de plus entre la 40 mm (Series 4) et la 38 mm (Series 3), 32% de plus entre la 44 mm (Series 4) et la 42 mm (Series 3). Davantage de place sur l’écran, c’est l’assurance de ne pas se tromper en visant un bouton ou une complication.

Apple en tire profit avec le cadran Infographe, une exclusivité Series 4 qui peut compter jusqu’à 8 complications ! Tout le monde n’appréciera pas forcément cet impressionnant volume d’informations à chaque lever de poignet, mais ce cadran est hautement personnalisable. Et ce n’est pas le seul disponible, bien sûr.

On peut cependant regretter que ni Apple — en dehors d’Infographe — ni les développeurs tiers n’exploitent réellement cette plus grande surface d’affichage. Les éléments visuels ne sont pas plus nombreux, ils sont simplement plus gros.

Le design de la Series 4 appelle un encombrement plus imposant. C’est effectivement le cas, les boîtiers 40 et 44 mm prennent indéniablement plus de place sur le poignet que les versions 38 et 42 mm de la Series 3. Certains adeptes de la précédente mouture « grand format » (42 mm) pourraient trouver plus à leur goût la Series 4 de 40 mm.

Apple est néanmoins parvenue à réduire l’épaisseur de la Series 4, à 10,7 mm contre 11,4 mm pour la Series 3. Au quotidien, cela ne change pas grand-chose mais il est plus facile de glisser un bras de chemise par-dessus la montre.

Series 3 v Series 4.

Toutes les Apple Watch Series 4 embarquent un dos en céramique protégé par une couche de cristal de saphir. C’est le cas aussi de la version GPS + cellular de la Series 3, mais la déclinaison GPS de cette même génération doit se contenter d’un dos en composite. Soyons honnête, on l’oublie immédiatement une fois sur le poignet, mais il faut reconnaître que le dos des Series 4 est plus joli que celui des Series 3 !

La Series 4 est la seule génération de montres qu’Apple vend avec un boîtier au revêtement doré, plutôt réussi par ailleurs, et qui s’accorde très bien avec le nouveau bracelet milanais or (lire notre prise en main de ce modèle).

De plus, la Series 4 est l’unique modèle à être proposé en finition acier inoxydable (qui n’est d’ailleurs proposée qu’en GPS + cellular, ce qui alourdit sensiblement la facture). La Series 3 se décline en argent et gris sidéral, et elle n’est vendue qu’avec un boîtier en aluminium.

Un bracelet Apple de 42 mm sur une Series 4 de 44 mm.

Malgré ces nouveaux boîtiers, Apple a conservé la compatibilité avec les anciens bracelets. Globalement, les attaches 38 mm s’adaptent au boîtier 40 mm, idem pour les attaches des bracelets pour Series 3 de 40 mm qui vont bien avec la 44 mm. Attention toutefois, il peut y avoir des exceptions chez les fabricants tiers, avec des attaches qui dépassent ou qui sont carrément incompatibles.

La Series 4 en forme et en santé

Au rayon des fonctionnalités exclusives, la Series 4 se distingue de la précédente génération par la présence d’un moteur haptique intégré à même la couronne digitale. On « sent » les clic-clic-clic de la molette lors de sa manipulation, la couronne ne tourne donc plus dans le vide. Et ces effets s’adaptent selon la fonction et l’application à l’écran.

Une fois qu’on a goûté à ces retours physiques, il est bien difficile de revenir en arrière. Autre fonction réservée à la Series 4 dont nous aimerions beaucoup profiter : l’électrocardiogramme. L’Apple Watch contient des électrodes à l’arrière du boîtier, ainsi que dans la couronne digitale. Ces capteurs fonctionnent de concert pour générer un aperçu (partiel, il n’est pas aussi complet que chez le médecin) de l’activité électrique du cœur.

Même si l’app ECG n’est active que sur les Apple Watch américaines, elle est entièrement traduite en français.

L’application ECG, livrée par Apple il y a quelques jours avec watchOS 5.1.2, n’est malheureusement fonctionnelle que sur les Apple Watch vendues aux États-Unis. Cette limitation géographique est impossible à contourner, du moins à l’heure actuelle. Il faudra attendre qu’Apple obtienne des accords avec les autorités de santé ailleurs dans le monde pour avoir accès à cette fonction. Et peut-être sauver des vies par la même occasion !

Toujours au registre des fonctions santé, l’Apple Watch Series 4 sait détecter les chutes accidentelles grâce à ses capteurs de mouvements améliorés (accéléromètre, gyroscope). Cette fonctionnalité est activée par défaut pour les utilisateurs de plus de 65 ans (elle est disponible dans les réglages Appel d’urgence de l’app Apple Watch).

Une fois la chute détectée, l’Apple Watch affiche une notification demandant si tout va bien. Si la montre reste immobile et sans réponse de la part de l’utilisateur au bout d’une minute, elle lance un compte à rebours de 15 secondes avec des impulsions et une alarme sonore de plus en plus forte. Si elle ne reçoit rien de la part du porteur, l’Apple Watch appelle les services d’urgence (la page support d’Apple donne tous les détails).

Pour la déclencher volontairement, il faut vraiment y aller franco : malgré nos tentatives, nous ne sommes jamais parvenus à obtenir l’alerte. Joanna Stern, du Wall Street Journal, a fait appel à une cascadeuse pour voir de visu le fonctionnement de la détection de chutes !

Sur la fiche technique

En plus de son grand écran et d’un design rafraîchi, l’Apple Watch Series 4 est aussi l’occasion pour le constructeur de changer le braquet du moteur de sa montre. Avec la puce S4, la nouvelle génération s’offre le support du 64 bits, gage de meilleures performances : Apple annonce un processeur jusqu’à deux fois plus rapide.

Comparatif de lancement d’apps entre une Series 4 et une Series 3.

Dans les faits, la Series 4 est rapide effectivement, et la plupart du temps le nouveau modèle se montre plus réactif que la Series 3 et sa puce S3. Que ce soit au démarrage (une opération assez rare, heureusement) ou au lancement d’apps, ce qui est beaucoup plus fréquent.

Malgré tout, il faut reconnaître que la puce S3 fait toujours correctement son boulot. Si on a l’habitude de n’utiliser qu’une poignée d’apps, utiliser une Series 3 plutôt qu’une Series 4 ne changera pas foncièrement le quotidien.

La différence est beaucoup plus importante entre les précédentes Series et le nouveau modèle, et si vous venez d’un modèle de 2015, ce sera le jour et la nuit… mais le contraire aurait été étonnant (lire : Pourquoi passer de l'Apple Watch 2015 à la Series 4).

Le support 64 bits de la puce S4 permet en tout cas à cette puce et à la Series 4 d’être parées pour l’avenir. Tout comme la prise en charge du Bluetooth 5.0, qui est la principale nouveauté de la puce sans-fil W3 (contre le Bluetooth 4.2 de la W2). Difficile néanmoins de dire avec certitude ce que le nouveau standard apporte, mais si c’est plus de fiabilité, alors c’est bon à prendre.

Parmi les arguments qui pourraient aider à faire pencher la balance au moment de passer commande, sachez que la Series 3 GPS se contente de 8 Go de stockage, contre 16 Go pour la Series 3 GPS + cellular et la Series 4. Bon à savoir si on veut stocker dans sa montre un maximum de podcasts et de musique.

Comme on l’a dit plus haut, la Series 3 GPS n’a à offrir qu’un dos en composite (contre de la céramique et du cristal de saphir pour les autres modèles), et elle est fournie sans adaptateur secteur. Le galet de recharge (heureusement toujours livré avec la montre 😅) devra se brancher sur le port USB-A d’un Mac ou sur un autre chargeur secteur.

Series 3 ou Series 4 ?

Au moment du choix, c’est comme toujours le porte-monnaie qui parle d’abord. C’est l’atout numéro 1 de l’Apple Watch Series 3, que l’on peut dénicher à des prix encore moins élevés que chez Apple, alors qu’il s’agit d’un produit toujours extrêmement capable et performant.

Bien sûr, en face l’Apple Watch Series 4 a pour elle un écran très séduisant, non seulement plus grand dans un encombrement minimal, mais aussi plus agréable et presque plus « doux » avec ses coins arrondis. La réactivité est au rendez-vous, la puce S4 promet des performances sur le long terme, et les fonctions en lien avec la santé (ECG) sont prometteuses… à défaut d’être disponibles ailleurs qu’aux États-Unis pour le moment.

Bien sûr, tout cela se paie, en particulier si on cherche un modèle un peu classieux (ouch le boîtier inox !). Mais si votre budget est contraint, pas la peine de vendre un rein pour offrir à son poignet une Series 4 : la Series 3 demeure un très bon choix.

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PUMA relance ses RS-Computer, des sneakers connectées de 1986

Florian Innocente |

Sacré look que cette RS-Computer de PUMA, une paire de sneakers sortie en 1986 et que l'équipementier relance en série ultra limitée mais en conservant son look d'origine.

Les deux talons restent pourvus de leur grosse excroissance qui contenait l'électronique nécessaire pour compter le temps passé à courir, la distance et en déduire le nombre de calories dépensées. Une diode indique si l'on atteint son objectif quotidien et l'autre le niveau de batterie. En somme tout ce que l'on a aujourd'hui avec son Apple Watch. Cette paire de pompes était l'ancêtre aussi du module Nike+ que l'on utilisait avec son iPod.

La RS-Computer se branchait à un Apple IIe, C64, C128 ou IBM PC pour exporter ses données et établir un tableau de progression pour l'utilisateur. Aujourd'hui elle communique avec iOS et Android. Ces talons électroniques pourront conserver 30 jours de données avant que la mémoire ne revienne à zéro.

Dans cette version moderne, la batterie se charge par une prise USB au lieu d'un câble 16 broches et la connexion se fait en Bluetooth. L'app utilisera par contre une interface avec un aspect rétro, comme à l'époque.

Seulement 86 exemplaires, numérotés, vont être produits et vendus sur le site américain de PUMA, sur Kith.com et dans des boutiques au Japon, à Londres et à Berlin. Le tarif n'est pas encore connu.

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Le socle Game Boy d’Elago pour l’Apple Watch est disponible sur Amazon

Mickaël Bazoge |

L’Apple Watch, c’est bien sympathique, mais ce qui l’est encore plus c’est de la transformer en Game Boy ! C’est ce que propose (plus ou moins) Elago avec le support W5, un petit dock de recharge de la montre qui prend la forme de la fameuse console portable de Nintendo.

Ce n’est pas un produit sous licence, mais la ressemblance est bluffante… enfin presque : inutile de vouloir jouer à Tetris ou Super Mario, même si la puissance de l’Apple Watch est sans commune mesure avec le Game Boy de l’époque.

Ce support en silicone anti-rayures contient un espace à l’intérieur pour y glisser le galet de recharge, et il est compatible avec toutes les Series de toutes les tailles. Le produit est disponible en gris clair ou noir sur Amazon au prix de 17,99 €.

Elago ne fournit pas le pin’s Apple, par contre.

Dans le même genre nostalgique, mais plutôt orienté Apple, on trouvera le socle W3 en forme de Mac originel au prix promo de 7,99 € (au lieu de 9,99 €). Là aussi, deux coloris gris clair et noir sont proposés, et évidemment ce socle est absolument indispensable.

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L’app Capture modélise les objets en 3D avec la caméra TrueDepth

Mickaël Bazoge |

Le studio Standard Cyborg a mis au point une technologie 3D qui modélise un objet à partir d’une simple application mobile. Capture exploite l’appareil photo TrueDepth en façade de l’iPhone (X, XS/XS Max, XR) : celui-ci projette un nuage de points qui modélise le sujet.

Une fois l’opération effectuée, l’app génère un modèle en 3D autour duquel on peut tourner, que l’on peut placer quelque part chez soi, et même partager au format USDZ. Ce format d’archive développé par Apple et Pixar a été inauguré avec iOS 12 ; les images créées en USDZ peuvent ensuite s’intégrer dans son environnement, simplement depuis un navigateur web. Apple propose d’ailleurs une sélection d’objets à tester depuis Safari (lire : USDZ : un format d'archive pour partager les ressources 3D et AR).

L’application Capture donne des résultats… intéressants et un peu étranges. Pour obtenir un objet 3D à peu près propre, il faut éviter de bouger tout en tournant lentement autour du sujet pour capturer un maximum d’informations. Le problème c’est qu’il est très difficile de tourner autour d’un objet avec la caméra en façade de l’iPhone, puisqu’on n’a aucun moniteur pour contrôler la visée. Et réaliser une copie 3D de soi — la seule chose que l’on peut numériser sans trop de soucis — est un peu bizarre.

Quoi qu’il en soit, cette app est surtout un « proof of concept », une manière pour le studio de présenter sa technologie à des développeurs et des éditeurs qui seraient intéressés pour l’intégrer. Les possibilités sont nombreuses, que ce soit dans le domaine du design, de l’ameublement, voire de la médecine.

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Apple Watch Series 4 : davantage de précision dans la mesure du rythme cardiaque avec la couronne digitale

Mickaël Bazoge |

Même si l’application ECG est limitée aux Series 4 achetées aux États-Unis, il est toutefois possible d’utiliser l’électrode présente dans la couronne digitale partout ailleurs dans le monde.

Pour les Apple Watch Series 4, watchOS 5.1.2 améliore le fonctionnement de l’app Rythme cardiaque à laquelle tout le monde peut accéder. Poser le doigt sur la couronne digitale après le lancement de cette application permet d’obtenir plus rapidement une valeur plus précise : Apple explique, dans la page support consacrée au cardiofréquencemètre de la montre, que la mesure est réalisée chaque seconde, au lieu de toutes les 5 secondes.

À gauche, la mesure a été réalisée avec la couronne digitale ; à droite, elle a été faite avec le seul cardiofréquencemètre de l’Apple Watch.

La fréquence cardiaque mesurée par la couronne digitale se distingue de celle relevée en continu, dans l’app Santé. Dans le panneau Rythme cardiaque, rendez-vous dans Afficher toutes les données > Données enregistrées, puis sélectionnez une mesure réalisée avec l’Apple Watch. Vous verrez alors dans Contexte cardiaque si la mesure a été faite avec la couronne digitale (le cardiofréquencemètre électrique, ECG) ou la mesure en continu.

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