La première bêta watchOS 5 fait son retour [MàJ]

Nicolas Furno |

Après avoir publié la première bêta de watchOS 5 dans la foulée du keynote de la WWDC, Apple avait rapidement supprimé la mise à jour de ses serveurs. En cause, une mise à jour qui ne se passait pas toujours très bien et qui pouvait même dans certains cas bloquer totalement la montre, obligeant son porteur à se rendre en Apple Store pour la débloquer.

Le constructeur a manifestement réglé le problème qui se posait, en tout cas watchOS 5 est à nouveau proposée aux développeurs ce soir. Rappelons qu’il n’y a pas de bêta publique, seuls les développeurs peuvent en bénéficier, après avoir installé un profil à télécharger depuis le centre dédié aux développeurs.

watchOS 5 propose de nombreuses petites nouveautés, que nous avons détaillées dans plusieurs articles. Cette mise à jour nécessite une montre Series 1 au minimum, les Series 0 initiales ne sont pas prises en charge.

[MàJ 11/06/2018 19h48] : les développeurs chanceux qui ont réussi à installer watchOS 5 la semaine dernière sans briquer leur montre ont apparemment une petite mise à jour supplémentaire au programme de ce soir. Manifestement, il y avait des bugs pressants à corriger, pas seulement pour l'installation.

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Pas de watchOS 5 pour l’Apple Watch "Series 0", est-ce surprenant ?

Christophe Laporte |

La toute première Apple Watch sortie en avril 2015 ne pourra pas faire fonctionner watchOS 5. La nouvelle tombée en début de semaine a pu en émouvoir certains, mais il n’y a pas de peine particulière à ressentir, ou s'émouvoir d'un scandale : c’est tout simplement la dure loi des nouvelles technologies.

Les acheteurs de la première heure auront eu le droit pendant un peu plus de trois ans à un support des nouveautés logicielles. Cet arrêt n’a rien d’étonnant pourtant, la prise en charge des produits de première génération est généralement assez courte. Et de ce point de vue, l’Apple Watch n’échappe pas à la règle.

L’iPhone EDGE et l’iPad 1G ont connu le même sort

Prenons le cas de l’iPhone : le tout premier modèle est présenté avec fracas début 2007 et est commercialisé au mois de juin de la même année. Le téléphone mythique de la firme de Cupertino adoptera l’année suivante iPhone OS 2, qui introduira l’année suivante le concept d’App Store, puis iPhone OS 3 en 2009, qui apportera entre autres le copier-coller, l’arrivée de l’enregistrement vidéo et Spotlight. Par contre, à l’occasion de la présentation d’iOS 4 en mars 2010, l’iPhone EDGE restera à quai. L’aventure aura duré là aussi trois ans environ.

L’iPad, que l’on a longtemps évoqué sous le nom d’iSlate avant sa présentation début 2010, a connu lui aussi un destin similaire. Lors de sa sortie, quelques mois plus tard, la tablette d’Apple était dotée d’une version spéciale d’iPhone OS 3. En juillet, elle adoptera iOS 4, puis l’année suivante iOS 5. C’est en 2012 donc que les choses se gâtent pour le tout premier iPad. En effet, l'appareil n’était pas inclus dans la liste des heureux élus capable de faire tourner iOS 6. Pour la première tablette d'Apple, le support des nouvelles versions d’iOS a donc duré environ deux grosses années.

Les premières générations victimes de la course à l’armement

Les premiers iPhone et iPad avaient deux points communs : un très bon design... et des limites matérielles. On pourrait tenir ces mêmes propos pour la première Apple Watch. Si Apple n’a pas pu gérer le tout premier iPhone pendant une plus longue période, c’est parce que son processeur, conçu initialement pour les lecteurs DVD, a rapidement tiré la langue. Le premier iPad était lui aussi vite bridé avec ses 256 Mo de RAM et son processeur mono-core.

Crédits : matt buchanan (CC BY 2.0)

Dans les premières années d’un nouveau produit, on assiste systématiquement à une course à l’armement aussi bien d’un point de vue logiciel que d’un point de vue matériel. Il est assez épatant de voir le chemin parcouru par watchOS entre la toute première version et la version 5 présentée cette semaine. Mais malgré toutes les qualités de ce dernier, la route est encore longue avant que le système, promu par Kevin Lynch sur la scène de la WWDC, atteigne le niveau de maturité d’iOS. Mais dès qu’une plateforme atteint un certain niveau de maturité, alors la durée des prises en charge des nouveautés s’allonge. On l’a vu avec iOS 12, qui gère les mêmes appareils qu’iOS 11 tout en offrant de meilleures performances (lire : iOS 12 redonne bien un coup de fouet aux anciens iPhone et iPad) . Ce constat, on le fait également depuis de nombreuses années sur Mac.

Les nouveautés de watchOS 5 demandent de la puissance

Mais à l’heure où watchOS fait des pas de géant, la toute première Apple Watch ne peut tout simplement plus suivre la cadence. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Son processeur monocore S1 cadencé à 520 MHz souffre de la comparaison, ne serait-ce qu’avec le système-sur-puce de l’Apple Watch Series 1 qui présente l’avantage d’avoir deux cœurs. Bon nombre des nouveautés de watchOS 5 requièrent de la puissance : le cadran Siri utilise de plus en plus d’intelligence artificielle, Activité gère toujours plus de données et cette version permet de lire des pages web. Autrement dit, elle embarque une version de Webkit adaptée aux montres d’Apple. Et de nos jours, il y a finalement assez peu de choses qui sont plus gourmandes et complexes qu’un moteur de rendu web !

On entend déjà poindre les mêmes critiques que l’on a pu entendre à différentes reprises : pourquoi le tout premier iPhone n’avait pas de puce 3G ? Pourquoi l’iPad n’avait pas plus de mémoire ? Pourquoi la première Apple Watch n’embarque pas une puce plus puissante ? C’est vrai pour chaque produit, mais ça l’est encore plus avec un appareil de première génération : il s’agit d’un compromis. Apple est dans l’obligation de faire des choix, sinon elle ne commercialise jamais de nouveaux produits. On rappellera que pour l’Apple Watch, la principale obsession d’Apple était l’autonomie. Le constructeur était terrifié à l’idée que sa montre ne tienne pas une journée. De ce point de vue, l’Apple Watch a parfaitement rempli sa mission.

S’il peut y avoir de la frustration (bien compréhensible) chez certains, l’important est sans doute ailleurs. Lorsque watchOS 5 sortira avec ses innombrables nouveautés à la rentrée, la toute première Apple Watch continuera malgré tout à fonctionner. Et ce qu’il faut retenir des premiers iPad et iPhone, c’est qu’ils ont longtemps continué à marcher même après qu’Apple a cessé de les inclure dans ses mises à jour majeures.

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L'Apple Watch Series 4 aurait des boutons sans mouvements mécaniques et mesurant la fréquence cardiaque

Florian Innocente |

La prochaine génération d'Apple Watch pourrait utiliser des boutons qui abandonnent un fonctionnement mécanique au profit du tactile. Le bouton latéral simulerait l'effet de la pression au moyen d'un Taptic Engine, comme cela se fait de manière très efficace avec les boutons d'accueil des iPhone 7 et 8 ainsi qu'avec les trackpads des portables.

La couronne digitale continuerait de tourner mais le ressenti de la pression serait simulé pareillement. Dans les deux cas, ça participerait à renforcer l'étanchéité de la montre et à gagner un peu d'espace à l'intérieur du boîtier pour la batterie. L'Apple Watch dispose depuis ses origines d'un Taptic Engine qui produit toute une gamme de vibrations.

À plus long terme, poursuit Fast Company qui a eu vent de ces travaux, Apple pourrait supprimer ces boutons et faire en sorte que des endroits précis sur la tranche de l'Apple Watch servent de contacts, ses designers travaillent en ce sens.

L'utilisation de ces nouveaux boutons tactiles pourrait débuter avec les Apple Watch Series 4 de la rentrée prochaine ou la collection 2019.

Le Taptic Engine sur une Series 2, crédit iFixit

L'un ou l'autre de ces prochains boutons, probablement le latéral, est également décrit comme capable d'effectuer un relevé santé, comme le rythme cardiaque. Il s'agirait d'épauler les capteurs situés sous la montre et de gagner en précision pour certaines mesures. Cela fait penser au bracelet Kardia Band d'AliveCor, muni d'une surface tactile dont les mesures de fréquence cardiaque sont suffisamment précises pour servir en milieu médical.

Kardia Band

Fin mars, l'analyste Ming-Chi Kuo avait commencé à dresser le portrait robot de la prochaine version de la montre. Elle comporterait un écran avec 15 % de surface d'affichage en plus, une batterie plus costaude et il citait de nouveaux capteurs santé mais sans donner plus de détails.

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WWDC 2018 : le récap’ des nouveautés de watchOS 5

Anthony Nelzin-Santos |

iOS 12 : l'écoute avec 1 seul AirPod est plus pratique

Florian Innocente |

La première beta d'iOS 12 n'a pas encore apporté de changements dans les réglages pour les AirPods (lire Les AirPods vont servir d'aide auditive avec iOS 12) mais il y en a au moins un dans leur comportement en écoute.

L'un de nos lecteurs utilise souvent un seul des deux AirPods pour écouter ses podcasts, tout en gardant l'autre oreille ouverte pour surveiller ce qui se passe autour de lui.

Il a noté que lorsqu'il ôtait cet AirPod pendant quelques secondes, une fois qu'il était remis en place, l'écouteur détectait l'oreille et relançait de lui-même la lecture sur l'iPhone au bout d'un temps très bref.

Avec iOS 11, l'AirPod détectait l'oreille et réactivait la connexion mais il fallait relancer la lecture manuellement, soit en allant sur son iPhone, soit par un double tap sur l'AirPod (dans la mesure où cette action est sélectionnée dans les réglages Bluetooth).

Ça marche en effet et c'est un petit changement pratique pour les habitués d'une lecture avec un seul des deux écouteurs.

Merci Maxime

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watchOS 5 : première écoute de l'application Podcasts

Mickaël Bazoge |

En ajoutant à watchOS 5 l'application Podcasts, Apple coupe un peu plus le cordon qui relie l'Apple Watch à l'iPhone. Cette app était attendue depuis un moment par les aficionados des podcasts (ils sont de plus en plus nombreux), et si tout n'est pas encore parfaitement calé — c'est une première bêta après tout —, cette nouvelle app a déjà de quoi séduire. Ne serait-ce que par sa simple existence !

L'application Podcasts permet d'écouter ses émissions préférées depuis le poignet (et des écouteurs Bluetooth connectés à l'Apple Watch, bien sûr). L'interface rappelle celle de l'app Musique, avec son carrousel de jaquettes qui présente les émissions. Toucher l'illustration d'un podcast revient à lancer le dernier épisode disponible.

Durant la lecture, on a la possibilité d'accélérer la cadence (jusqu'à x2) ou de la ralentir (x0,5), d'avancer de 30 secondes et de reculer de 15 secondes dans l'émission. En touchant le bouton Épisodes à gauche du bouton de lecture, on accède aux différents épisodes disponibles.

Au contraire d'autres apps concurrentes, Podcasts ne propose pas de fonction de suppression des bruits parasites (les « hum » et les blancs dans les discussions) ; c'est le cas aussi de la version pour iPhone. De même, et c'est dommage, l'application de l'Apple Watch ne permet pas la navigation par chapitres alors que c'est une des nouveautés de sa grande sœur sur iPhone.

Le cadran Siri et l'app À l'écoute prennent en charge Podcasts.

Il est possible de sélectionner un podcast ou une émission en particulier : l'app permet en effet de naviguer par émission ou par épisode. Dans ce dernier cas, Podcasts retourne la liste des derniers épisodes publiés.

Le niveau de lecture est enregistré, de cette manière on pourra reprendre sur l'iPhone un podcast là où on l'avait arrêté sur l'Apple Watch (et inversement).

Se casser les dents sur l'écoute hors réseau

L'application fait office de télécommande pour lire les podcasts présents sur l'iPhone, mais elle comprend aussi un onglet Bibliothèque qui contient des émissions embarquées dans la montre et que l'on peut donc écouter hors connexion. Du moins, ce serait logique : après tout, c'est le cas aussi de l'app Musique.

Malheureusement, pour le moment, cette fonction d'écoute hors réseau n'est pas opérationnelle (ou alors elle fonctionne très mal, à moins qu'on n'ait pas eu de bol). Aucun podcast de ma bibliothèque n'était disponible à la lecture sur la montre, cette dernière réclamant une connexion à internet.

Sur l'iPhone, l'application Apple Watch n'est d'aucun secours. Certes, Podcasts gagne une préférence dans les réglages, mais aucune option n'est disponible pour conserver telle ou telle émission sur l'Apple Watch — il est simplement possible de sélectionner les podcasts désirés en décochant l'option Listen Now. Les réglages de l'application Podcasts ne comportent pas d'option spécifique pour l'Apple Watch.

C'est une bêta, donc tout n'est pas encore en place. L'amélioration de la lecture de fichiers audio (musique, podcasts) sur l'Apple Watch est une des grosses nouveautés de watchOS 5 pour les développeurs : lecture en tâche de fond (pouvoir continuer à écouter une émission ou un morceau en faisant autre chose sur la montre), synchronisation et téléchargement de listes de lecture et d'épisodes (idéal pour les services de streaming de musique et les apps tierces de podcasts), contrôles de lecture plus complets pour les applications tierces (l'ajustement du volume sonore est enfin de la partie)…

On peut espérer que le téléchargement de podcasts sur l'Apple Watch pour une écoute hors connexion va s'améliorer avec les prochaines bêtas.

Siri sert les podcasts

Podcasts ne permet pas de naviguer dans le catalogue d'émissions disponibles sur iTunes… à moins de passer par Siri, à l'instar d'Apple Music dans l'app Musique. L'assistant lancera alors le dernier épisode disponible pour telle émission, pour peu que la montre soit connectée au réseau d'une manière ou d'une autre.

Ce podcast n'était pas disponible dans ma bibliothèque.

Siri peut également lancer un podcast auquel on est abonné, mais l'assistant perd les pédales quand on lui demande un épisode précis :

Siri a bien compris la date du podcast (le 10 juin), mais il lance l'épisode datant du 20 octobre dernier.

Globalement, l'expérience avec Siri pour rechercher un podcast n'est pas exceptionnelle : la compréhension du nom des émissions est plutôt bonne (en particulier pour les podcasts anglophones), mais l'assistant rame, il interprète les commandes de travers (il lance de la musique alors qu'on demande un podcast), et il ne reconnait ni les numéros d'épisodes, ni les dates. On mettra ça sur le compte de la jeunesse de cette bêta, en espérant que les choses iront en s'améliorant.

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USDZ : un format d'archive pour partager les ressources 3D et AR

Anthony Nelzin-Santos |

À l’occasion de la WWDC, Apple et Pixar ont présenté USDZ, un nouveau format d’échange de fichiers 3D et AR. Basé sur les technologies de Pixar, conçu pour les besoins d’Apple, il promet de faciliter le partage de ressources 3D destinées à la réalité augmentée.

Tel qu’il est défini par Pixar, USDZ n’est rien d'autre qu’une archive sans compression ni chiffrement, contenant des fichiers USD et toutes leurs ressources graphiques associées. Vous ne voyez pas l’intérêt ? C’est normal : vous n’avez probablement jamais entendu parler du format de fichier USD.

USD, pour Universal Scene Description ou « description universelle de scène », a été conçu pour les besoins du système d’animation de Pixar. Chaque plan de Toy Story était décrit par un fichier linéaire, explique Pixar, une approche simple mais rigide. En mettant au point le système d’animation Marionette pour réaliser 1001 pattes, les développeurs de Pixar ont commencé à réfléchir à un format de fichier plus flexible.

Ce rêve n’est pas devenu réalité avant la conception d’un nouveau système d’animation pour la réalisation de Rebelle, Presto, et celle d’un nouveau format de fichier, USD. USD résout les problèmes opérationnels spécifiques à la réalisation d’un film d’animation par des centaines de personnes : différents artistes peuvent travailler sur différentes couches du même fichier, qui contient l’historique de toutes les modifications, et permet de gérer les éventuels conflits.

Surtout, il permet de regrouper toutes les données nécessaires à la composition d’une scène 3D. Pixar voit quatre avantages dans l’utilisation du format USD :

  • la standardisation de schémas pour l’échange de données de géométrie, de shading, ou de déformation ;
  • l’amélioration des performances pour la lecture et la génération de données, dont l’instanciation géométrique ;
  • la possibilité d’intégrer des variantes du contenu ;
  • l’utilisation d’une architecture flexible qui pourra être adaptée.

Reste qu’il faut utiliser des centaines de fichiers USD pour décrire la complexité d’un projet. Voilà qui justifie l’existence du format USDZ : après s’être penchés sur le problème de l’édition, les développeurs de Pixar veulent résoudre le problème de la consultation d’un projet. USDZ est conçu comme un format commun et portable, « optimisé pour le partage » dit Apple.

Un fichier USDZ se présente ainsi comme une archive, que l’on peut consulter sans décompression, et qui contient l’ensemble des ressources nécessaires à la génération d’une scène 3D. L’idée est simple : les applications de création 3D seront capables d’exporter une scène dans un fichier USDZ, que l’on pourra ensuite envoyer par Mail, consulter avec Coup d’œil, ou même intégrer dans une application.

USDZ a été créé par Pixar, mais Apple a contribué à la réflexion, elle qui veut faciliter la création de contenus pour la réalité augmentée. À cet effet, USDZ est proposé à tous, de manière ouverte. Autodesk et Stetchfab ont d’ores et déjà annoncé qu’ils prendraient rapidement en charge ce format, et Adobe compte non seulement l’intégrer à la Creative Suite, mais même concevoir une application iOS — Aero — autour d’USDZ.

La projection d’un fichier USDZ, ici issu du site de Fender, dans l’espace, avec ARKit.

Apple montre bien sûr l’exemple : iOS 12 et macOS Mojave, mais aussi Safari, sont capables de lire les fichiers USDZ. La firme de Cupertino propose notamment que les boutiques en ligne créent des modèles 3D de leurs produits, que l’on pourrait consulter en 3D dans Safari comme l’on pouvait autrefois consulter des fichiers QuickTime VR, et même projeter dans l’espace en taille réelle avec ARKit.

En somme, USDZ montre les ambitions d’Apple en matière de développement de la réalité augmentée. Comme HEIF a permis d’« augmenter » les photos, USDZ permettra d’« augmenter » les scènes 3D. Votre iPhone prend des Live Photos et des portraits, c’est-à-dire des photos accompagnées de données, dont la vie ne fait que commencer à la prise de vue. Votre iPhone fera bientôt la même chose avec les fichiers 3D, dont la gestion sera considérablement simplifiée.

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