Les nouveaux bracelets en nylon tissé (59 €) pour Apple Watch sont jolis et très agréables à porter, mais nous avons constaté une petite anomalie sur deux modèles reçus à la rédaction. La partie supérieure du bracelet ne reste pas fixée au boîtier. Autrement dit, quand on glisse le bracelet dans la fente de la montre, on peut le faire sortir de l'autre côté sans jamais appuyer sur le petit bouton d'ouverture/fermeture.
Le 2e essai est le bon.
Pour régler ce petit problème, il faut appuyer fort sur le bracelet comme si on voulait l'enfoncer dans la montre, de manière à ce que le bouton de fermeture remplisse son office (on peut entendre un petit « clic » quand c'est le cas). Le bracelet restera ainsi à sa place.
Les premières commandes de l’Oculus Rift ont été livrées le 28 mars comme la filiale de Facebook l’avait prévu. Malheureusement, tout le monde n’a pas été logé à la même enseigne : une semaine après la promesse de la livraison, ces clients attendent toujours leur casque VR. Pire encore, ils n’ont trouvé aucun réconfort auprès du constructeur, qui ne leur a donné aucune mise à jour du statut des livraisons.
Oculus a fini par réagir en envoyant un courriel à des consommateurs légitimement déboussolés. Un des composants nécessaires au casque a été en pénurie et « malheureusement, ce problème a un impact sur les dates de livraison originales pour certains clients ». Évidemment, Oculus met les bouchées doubles pour assurer une production suffisante ; les early adopters marris devraient voir le statut de leurs commandes évoluer d’ici le 12 avril.
Histoire de faire oublier la déconvenue, Oculus annonce la prise en charge des frais de port (y compris à l’international), que les consommateurs n’auront plus à payer — malgré le prix du dispositif (699 € en Europe), il fallait en plus régler des frais de port qui, pour la France, se montaient à 42 €.
Le concept de « bracelets intelligents » pour les montres connectées n’est pas nouveau. Pebble a ainsi mis au point un cahier des charges et des outils développeurs pour ses produits (on attend les premières réalisations comme le Tylt), et du côté de l’Apple Watch, certains n’ont pas attendu pour tirer profit du port Lightning caché, même sans l’autorisation du constructeur (lire : Le port diagnostic recharge bel et bien l'Apple Watch).
L’idée de concevoir des smart straps pour l’Apple Watch est donc dans l’air du temps, pratiquement depuis le lancement du produit (lire : Des bracelets intelligents pour accompagner l'Apple Watch ?). Un brevet est apparu récemment (via), laissant penser que le concept intéresse Apple — du moins dans le secret de son labo R&D.
L’invention recouvre des bracelets modulaires et interchangeables ; on peut imaginer des morceaux de bracelets embarquant un GPS, une batterie supplémentaire, des capteurs fitness et santé, un appareil photo, un haut-parleur, un berceau pour carte SIM… Ces "maillons" s’interconnectent entre eux et communiquent avec le port diagnostic de la montre. Est-ce qu’Apple lancera un jour de tels produits ? Cela paraît peu probable, du moins pour cette première génération.
Apple ne travaille pas que sur les bracelets. Le constructeur a aussi imaginé que l’on pourrait interagir avec l’Apple Watch avec des mouvements de la main. Après tout, la montre sort de veille en tournant le poignet, alors pourquoi ne pas aller plus loin ? Un autre brevet protège donc de nouveaux gestes (via), comme la possibilité de refuser un appel en retournant la main, de prendre un appel en formant un téléphone avec les doigts, augmenter ou baisser le volume en montant ou abaissant la main, …
Pour être tout à fait franc, on imagine mal réaliser ces mouvements dans le bus ou le métro au risque de passer pour un dinguo. Le brevet est plus intéressant quand il décrit la reconnaissance de la langue des signes : l’iPhone jumelé à la montre peut interpréter les signes réalisés par l’utilisateur et les transcrire pour que l'interlocuteur puisse comprendre. [MàJ le 24/06/2021] : Accessibilité : langue des signes française pour communiquer en ligne avec Apple, et de nouveaux gestes pour l'Apple Watch.
La réalité virtuelle, c’est épatant mais une fois le casque posé sur la tête, on a parfois tendance à oublier le monde extérieur et le temps qui passe dans la réalité bien réelle. Certains dispositifs ouvrent une fenêtre sur l’extérieur, comme le Gear VR de Samsung : une option permet d’activer la caméra du smartphone afin que l’on puisse savoir ce qui se passe autour de soi, tout en conservant le casque sur le chef.
Le Vive de HTC va un peu plus loin : il sait afficher dans son univers virtuel les notifications provenant d’un smartphone, une petite passerelle vers le monde extérieur. L’iPhone est supporté depuis peu, grâce à une application qui joue un peu au chat et à la souris actuellement. Celle-ci permet de jumeler le téléphone avec le casque Vive (plus précisément, avec le PC sur lequel l’appareil est connecté).
Une fois l’opération effectuée, l’utilisateur du Vive (ils sont encore peu nombreux, le produit devant être livré en début de mois) sera notifié des messages texte, des rendez-vous et des appels entrants. Le tableau de bord du système permettra de répondre à un appel manqué, d’afficher les détails d’un événement du calendrier, ou de rappeler l’expéditeur d’un SMS.
Et puisqu’on en est à évoquer le Vive, jetez donc un œil sur la vidéo ci-dessous : avec l’aide d’un casque HTC, Namco Bandai propose de sauver les petites miches d’un chaton dans un environnement extrême. Enfin, si vous avez l’estomac pour.
Depuis quelques jours nous avons porté les nouveaux bracelets en nylon pour l’Apple Watch et reçu également la version noire de la maille milanaise et des modèles cuir à boucle classique.
Pour peu que l’on trouve couleur à son poignet nous n’avons que du bien à dire de ces bracelets. La matière est agréable et légère, pas excessivement rigide, la fermeture se fait sans trop d’efforts et la fabrication paraît de bonne facture. Mais il faudra plus de recul pour en être certain. Nous ne les avons pas malmenés plus que de raison, à part des passages sous l’eau de temps à autre. Sur la semaine où nous les avons portés, ils ne nous ont pas déçus.
Bonne impression également pour le bracelet Boucle Classique en cuir de veau (169 €). Outre des coloris supplémentaires (9 en tout), il est nettement plus qualitatif que précédemment, à l’oeil comme au toucher, avec l’ajout d’une surpiqûre.
Dernière bonne surprise, la déclinaison en noir sidéral du bracelet milanais. À ceci près que ce simple choix de couleur fait bondir la note de 169 € à 229 € ! On se croit revenu au temps du MacBook blanc/noir de 2005 où Apple faisait payer plus ou moins cher la couleur de la peinture de son portable…
La nouvelle maille milanaise noire à gauche sur une Apple Watch Sport — Cliquer pour agrandir
Reste que le résultat est tout à fait réussi. L’accessoire se marie plus volontiers avec une Apple Watch de couleur sombre mais il ne jure pas avec les modèles aciers qui reflètent sa tonalité plus sombre. Il est moins brillant que l’autre et se fera plus discret.
Il nous a très fortement semblé aussi que le revêtement était différent entre le bracelet argent et celui-ci. Le nouveau étant plus “rugueux” lorsqu’on passe le pouce dessus. Ca n’enlève rien à son confort et surtout, le fermoir aimanté glisse beaucoup moins. C’était notre principal grief dès les premiers moments où nous avions porté ce bracelet l’année dernière, il fallait continuellement le resserrer (lire Déception avec le bracelet milanais de l’Apple Watch). Cela ne se produit plus qu’épisodiquement avec ce modèle et cela rend son utilisation bien plus agréable.
En définitive et sauf mauvaise surprise sur la manière dont vieilliront ces bracelets, aucun n'a révélé de défaut ou induit de gêne particulière lors de son utilisation. Il y a du nouveau dans toutes les gammes de prix et un assortiment de couleurs et de styles qui vise assez large.
Google vient d'annoncer deux nouveautés importantes dans son écosystème de réalité virtuelle. Son kit de développement logiciel pour Cardboard est désormais disponible sur iOS. Les programmeurs ont ainsi une série d'outils leur permettant de créer des applications iOS compatibles avec les casques VR super abordables.
Google démocratise également les contenus en réalité virtuelle avec VR view, une technologie servant à intégrer des contenus en VR dans des applications et sur le web. La manipulation est aussi facile qu'intégrer une vidéo YouTube, puisqu'il s'agit d'une simple iframe.
Ce 30 mars, Microsoft a officiellement démarré la distribution de ses lunettes HoloLens, qui permettent d’incruster des images 3D au milieu de notre environnement immédiat qui reste visible. De la réalité augmentée à base "d'hologrammes", à la différence des casques de réalité virtuelle qui immergent complètement le regard dans un univers factice. Il en coûte 3 000 $ aux développeurs qui veulent se familiariser avec l’engin — réservé à Windows 10 — et concevoir leurs premières applications.
Visiblement ému par ce jalon important dans la courte histoire de ce produit, Alex Kipman chez Microsoft a passé en revue quelques usages possibles avec ces lunettes.
Il a surtout été question d’éducation et de différents secteurs professionnels (Airbus, Japan Airlines, Saab, Audi et bien d’autres sont partenaires). Il faut dire qu’il n’y a virtuellement aucune limite sur le papier. On peut analyser une maquette géante flotter devant soi, interagir par des zooms, se retrouver à plusieurs pour confronter des opinions sans être pour autant tous présents au même endroit…
Parmi les démonstrations, on a pu voir deux personnes observer sous toutes les coutures l’anatomie d’un sujet en 3D et être guidés en temps réel par l’avatar d’un professeur, connecté à distance avec son propre HoloLens.
Deux étudiants observant un cerveau, avec leur professeur au fond représenté par un buste 3D orange
La NASA va ouvrir cet été une exposition à propos de Mars dans laquelle les visiteurs équipés de ces lunettes auront pour guides l’astronaute Buzz Aldrin et des membres de l’équipe qui a créé le robot d’exploration Curiosity.
Le tarif pour découvrir cet équipement n’étant pas franchement à la portée de tous, Microsoft a également mis au point un émulateur logiciel et des projets tout prêts pour Visual Studio.