Si vous cherchez des AirPods, Orange propose à nouveau les écouteurs d’Apple à 129 € au lieu de 179 avec une offre de remboursement. Ne trainez pas, la dernière fois les stocks de l’opérateur ont été vidés en quelques minutes.
Rappelons que c’est un remboursement a posteriori de 50 €, mais vous devrez payer la totalité de la somme à la commande. Avantage malgré tout : Orange devrait avoir un petit peu de stock et expédier dans la foulée.
[MàJ 28/06/2017 08h56] : malheureusement, les stocks sont déjà vides. Orange lance manifestement ces promotions avec très peu d’exemplaires à chaque fois.
Avec watchOS 3, Apple avait déjà sensiblement accéléré le lancement et le fonctionnement des applications tierces, une vitesse de traitement encore améliorée avec le processeur S1P et S2 des Apple Watch Series 1 et 2. Force est toutefois de constater que si les choses se sont améliorées sur ce plan, ce n'est pas encore idéal : il arrive trop souvent que l'on attende trop longtemps qu'une app veuille bien se lancer. De guerre lasse, on se résout bien souvent à sortir l'iPhone…
watchOS 4, actuellement en gestation chez les développeurs, va apporter à son tour du mieux dans ce domaine. Selon Ian Parks, qui travaille au sein de l'équipe de développement du système d'exploitation vestimentaire d'Apple, les applications tierces se montreront beaucoup plus véloces. Il l'a affirmé durant une session de la WWDC.
Les apps destinées à watchOS 4 combineront à la fois le code et les éléments d'interface, qui se chargeront en même temps. De ce qu'on en comprend, l'application aura beaucoup moins d'informations à aller piocher sur l'iPhone, réduisant ainsi les temps de transfert entre les deux appareils. Leur lancement sera aussi moins long.
Les apps devraient donc fonctionner plus rapidement et se montrer plus réactives quand on interagit avec elles. « Cela va faire une grande différence dans la performance de vos apps », se réjouit Parks. Difficile à l'heure actuelle de ressentir le changement, puisque les applications devront sans doute être mises à jour pour tirer partie de cette nouvelle architecture.
C’est entendu, on ne va pas évoquer ici les moindres démonstrations des possibilités d’ARKit (lire : Ces démos d'ARKit montrent le gros potentiel de la réalité augmentée d'Apple). Mais certaines d’entre elles sont suffisamment impressionnantes pour qu’on en touche deux mots car tout de même, c’est prometteur. C’est le cas de cette version AR de Minecraft, développée par Matthew Hallberg avec le moteur Unity 3D et ARKit, bien sûr. C’est bien simple, on voudrait y jouer tout de suite — malheureusement, il faudra attendre la version finale d’iOS 11, cet automne, pour que chacun profite des premières apps de réalité augmentée conçues avec le framework d’Apple.
On peut planter des arbres et des blocs et créer ses propres structures, le tout dans son environnement immédiat, et bien sûr avec la prise en compte de la profondeur de champ. Espérons que cela donnera des idées à Microsoft et Mojang pour concevoir ce Minecraft.
En 2015, Microsoft présentait justement une version HoloLens de Minecraft. Bluffante évidemment, mais elle nécessite de posséder le casque…
D’autres démos ARKit poussent comme des champignons, à l’instar de cet atterrissage en douceur d’une fusée Falcon 9 (SpaceX) au milieu d’une piscine ou encore cette visite guidée d’une maison grandeur nature posée au milieu d’un champ.
Cette version bêta 4 de watchOS 3.2.3 arrive en décalé avec iOS 10.3.3 bêta 4 sortie la semaine dernière. Le plus souvent ces deux OS se déplacent ensemble, mais pas cette fois. Les notes de version sont toujours très économes dans le détail des correctifs, il faudra attendre la version finale pour en apprendre plus.
Bien sûr, ARKit ouvre des horizons particulièrement joueurs, et pas seulement pour Pokémon GO (lire : Ces démos d'ARKit montrent le gros potentiel de la réalité augmentée d'Apple). En dehors du jeu vidéo, le framework de réalité augmentée d’Apple va aussi permettre de nouveaux usages a priori banals, mais pour lesquels ARKit offre beaucoup plus de précision et de fiabilité. C’est le cas par exemple pour la future application IKEA, avec laquelle on pourra décorer virtuellement son intérieur.
Deux autres applications vont tirer profit des capacités AR d’iOS 11, pour des tâches très pratiques. AR Measure est un mètre virtuel qui permet, hé bien… de mesurer n’importe quoi de la manière la plus précise qui soit. Après tout, le meilleur mètre c’est celui que l’on a toujours sur soi… Logiquement, le développeur Laan Labs attend la mise en ligne de la version finale d’iOS 11 avant de livrer son application.
La guerre des mètres virtuels fera rage cet automne, puisqu’une autre app, ARuler, se proposera elle aussi de mesurer la distance entre deux points, simplement en les touchant sur l’écran.
FlyOver n’est peut-être pas la fonction la plus utilisée et/ou la plus pratique de Plans, mais cela n’empêche pas Apple de continuer à l’améliorer et ce, de manière assez spectaculaire. iOS 11 apporte un bonus original et inattendu : la réalité virtuelle ! En touchant le bouton FlyOver sur les villes et lieux compatibles, Plans permet désormais de découvrir l’endroit simplement en marchant : le voyage au sein des bâtiments suit alors les mouvements de l’utilisateur. C’est assez bluffant, on peut ainsi obtenir une vue élargie d’une ville ou se rapprocher d’un endroit en bougeant l’iPhone ou la tablette.
Pour réaliser cette prouesse, Plans semble exploiter ARKit pour la gestion du positionnement de l’utilisateur (lire : Prise en main : la réalité augmentée d'Apple n'est plus virtuelle). FlyOver reste bien évidemment compatible avec les gestes à l’écran, ce qui est bienvenu car on a l’air un peu étrange à bouger son appareil dans tous les sens.
Pour le reste, FlyOver souffre toujours des mêmes soucis de rafraîchissement : les cartes 3D mettent un certain temps avant de s’afficher au complet, y compris sur les terminaux les plus récents. Autre hic, FlyOver manque souvent de précision et la fonction ne saurait pas remplacer Street View. Malgré tout, cela reste une démonstration impressionnante des possibilités VR d’iOS 11.
Après s’être attelée à la conception de casques résolument élitistes, l’Elear et l’Utopia, Focal revient à des produits nettement plus accessibles. Le fabricant stéphanois présente ainsi les Spark, une paire d’écouteurs intra-auriculaires d’entrée de gamme, et les Sphear S, une déclinaison améliorée de sa première paire d’intras. Et propose ses premiers casques sans fil.
Spark Wireless. Image Focal.
Il était temps : 60 % des casques vendus se connectent sans fil. Beats domine largement ce secteur en pleine croissance — par le biais de sa filiale, Apple capte le quart des ventes de casques sans fil et la moitié du chiffre d’affaires, chiffres auxquels il faut ajouter quelques points depuis le lancement des AirPods. Focal aura fort à faire face à LG et Sony, Bose et B&O, ou encore Plantronics et JVC.
Elle entre sur le marché avec deux produits, une paire d’écouteurs intra-auriculaires et un casque circum-auriculaire. Comme leur nom l’indique, les Spark Wireless dérivent des Spark, mais prennent la forme classique d’un « tour de nuque ». Le câble reliant les deux oreillettes porte deux petits boîtiers : la télécommande d’une part, et la batterie d’autre part, censée offrir huit heures d’autonomie.
De la même façon, le Listen Wireless dérive du Listen, le successeur de l’excellent Spirit One S. À peine 30 grammes plus lourd que son compagnon filaire, il embarque une batterie donnée pour 20 heures d’autonomie, à l’issue desquelles on pourra continuer à l’utiliser avec le câble fourni. Focal fait l’impasse sur la réduction active de bruit, préférant insister sur la qualité sonore.
Listen Wireless. Image Focal.
Les Spark ouvrent désormais la gamme à 69 €, leur déclinaison sans fil restant sous la barre fatidique des 100 €. Seulement 40 € séparent le Listen, proposé à 199 €, du Listen Wireless, qui reste donc plutôt abordable. Le Sphear S, vendu 129 €, n’est donc pas décliné dans une version sans-fil.