Fitbit rencontrerait des soucis de production pour sa première  « vraie » montre connectée. L’appareil, qui doit capitaliser sur le savoir-faire de Pebble et Vector, deux acquisitions récentes du spécialiste du traqueur d’activité, devait être présenté au printemps, mais il faudra sans doute attendre cet automne ce qui risque d’être un sérieux défi : il se murmure en effet que la Series 3 de l’Apple Watch pourrait être elle aussi lancée en fin d’année.

Selon deux sources de Yahoo Finance, un des prototypes finaux de la montre connectée de Fitbit présente un bug au niveau du GPS : le composant ne fonctionne pas « parce que l’antenne n’est pas au bon endroit ». Plutôt embêtant donc pour un tel capteur, ce qui a forcé le constructeur à revenir sur la planche à dessin et repenser le design du produit avec un objectif en tête : muscler le signal GPS.

Fitbit a pourtant une certaine expérience dans ce domaine, puisque le fabricant possède au catalogue un bracelet, le Surge, qui intègre un GPS. Autre souci, l’étanchéité ne serait pas au rendez-vous de ce premier modèle, ce qui ne lui permettrait pas d’être utilisé en piscine pour mesurer les efforts de natation. Si le GPS devrait bien faire partie des fonctions de base offertes par ce produit, il faudra certainement faire une croix sur l’étanchéité.

Pour le reste et toujours selon cette fuite, la montre intègrera un écran couleur de 1 000 nits (à l’instar de l’Apple Watch Series 2), un cardiofréquencemètre, un lecteur musical avec possibilité de mise en cache pour Pandora, un service de paiement sans contact, et quatre jours d’autonomie pas moins (Fitbit recyclerait-il l’écran LCD de Pebble ?). Le châssis serait en métal, avec la possibilité de changer facilement de bracelets. Le tout pourrait bien ressembler au Blaze, le produit Fitbit qui s’approche le plus d’une montre connectée actuellement.

Misfit vient d’annoncer un nouveau traqueur d’activité, le Flare. Alors que le constructeur — propriété de Fossil depuis fin 2015 — s’était lancé en octobre dernier sur le marché de la montre connectée avec la Phase, il revient à ses premières amours avec ce nouveau produit minimaliste. Le Flare est en effet un traqueur tout simple, qui mesure le nombre de pas, les distances, et les calories brûlées.

Petit bonus tout de même, l’objet comporte un bouton personnalisable, on peut le programmer pour réaliser une action particulière sur le smartphone, comme lancer ou mettre la musique en pause, ou prendre une photo par exemple. Pour le reste, pas de flonflons ni de fonctions en trop dans cet appareil — étanche jusqu’à 50 mètres — qui se porte au poignet avec un bracelet en plastique. Le Flare intègre une batterie remplaçable bonne pour quatre mois de service.

Le prix de ce traqueur est à l’image de ses fonctionnalités : pas bien élevé, à savoir 60 $. Pour 10 $ de plus, on débloquera (dans l’app Misfit) les fonctions de suivi des efforts à la piscine.

Apple n’avait pas traîné pour livrer la première bêta de watchOS 3.2.2, fournie le lendemain de la version finale de watchOS 3.2. Le constructeur garde un rythme soutenu, puisque voilà la deuxième bêta de cette mouture, à destination des développeurs. Comme son numéro de version l’indique, cette bêta numéroté 14V5475a de watchOS 3.2.2 ne propose pas vraiment de nouveautés visibles, du moins on n’en a pas repéré jusqu’à présent. Peut-être que cela changera ce soir ?

L’une des grandes « nouveautés » de watchOS 3.2, c’est l’arrivée du mode Spectacle, qui s’avère particulièrement utile au quotidien. Au cinéma, au théâtre, ou lors d’une réunion, vous avez l’assurance en l'activant que votre montre ne dérangera plus ceux qui vous entourent pour un oui ou pour un non.

Ce nouveau mode, rappelons-le, désactive l’allumage de l’écran de la montre lorsque vous recevez une notification et lorsque vous levez le poignet. Si ce n'était pas le cas, l'Apple Watch est placée en mode silencieux. Par défaut, vous continuez toutefois à recevoir des notifications sous la forme de vibrations. À moins également de les désactiver en activant le mode Ne pas déranger pour être ainsi parfaitement tranquille.

Au quotidien, ce mode se révèle très pratique pendant la nuit. Vous pouvez garder votre montre au poignet et ne pas être importuné par la lumière à chaque fois que vous vous retournez.

Et si, pour une raison ou une autre, vous désirez savoir quelle heure il est, il vous suffit de toucher la montre ou de tourner la couronne digitale (uniquement sur les Séries 2). Dans ce cas, on vous recommande d’utiliser un cadran spécial affichant l’heure en gros et de préférence avec la couleur la moins vive possible.

L’autre intérêt de ce mode, c’est qu’il est peu gourmand en énergie. Sur une nuit complète, la batterie de notre Apple Watch perd entre 5 et 10 points d'après nos tests, l'écran restant toujours éteint.

Le boîtier des AirPods n’a l’air de rien comme ça, mais ce petit objet est bourré d’électronique et, en dehors de sa fonction première de transport des écouteurs sans fil, il en recharge également les batteries ; il sert aussi à jumeler les AirPods avec d’autres appareils Bluetooth avec son bouton. Ses possibilités pourraient aller encore plus loin, selon Apple qui a imaginé une fonction très intéressante de batterie externe pour d’autres terminaux.

Ce brevet décrit un boîtier d’AirPods dont une partie de la surface externe peut recharger les batteries d’une Apple Watch, mais aussi, en théorie, d’un iPhone, d’un iPad, et pourquoi pas d’un MacBook — le tout sans fil, en posant simplement le terminal à recharger sur la boîte. L’invention explique également comment le boîtier peut être étanche ou résister à la présence de liquide.

L’idée d’une « batterie externe à induction » est plutôt bonne, ce d’autant que l’on transporte toujours avec soi le boîtier de ses AirPods. De plus, la rumeur annonce depuis un moment que la future gamme d’iPhone intégrerait le support de la recharge sans fil, sans accessoire supplémentaire, enfin, sauf la base de recharge. Du coup, pourquoi ne pas faire jouer ce rôle à la boîte des écouteurs ? Le brevet a été déposé au troisième trimestre 2016.

Maintenant qu’on commence à s’habituer à voir des tiges blanches dépasser des oreilles des bienheureux qui ont pu se procurer des AirPods, le grand public est mûr pour se jeter sur des écouteurs du même genre, mais moins chers et disponibles plus rapidement (toujours six semaines d’attente pour les AirPods).

Le constructeur chinois Dacom veut tenter sa chance aux États-Unis avec des clones des écouteurs d’Apple. Les Guofen7 TWS, soumis à la certification du FCC, reprennent la plupart des idées du fabricant de Cupertino : le design en forme de tiges dans lesquelles se nichent de petites batteries, le boîtier/batterie (à recharger en USB, cette fois), les contacts présents sous les écouteurs pour leur recharge…

Les batteries des écouteurs promettent 4 heures de lecture audio, ou 120 heures en veille. Les contrôles se déroulent au moyen d’un bouton multi-fonctions (pas de tapotage ici) et question design, on est assez éloigné des AirPods tout de même. Ces écouteurs sont actuellement vendus au Japon au prix de 11 555 yens, soit 98 euros environ… deux fois moins cher que les AirPods.

Les AirPods ont deux problèmes. D’une part, il est toujours très difficile de les acheter : sur l’Apple Store en ligne, l’attente est, depuis des mois, de six semaines. Et d’autre part, une fois que le monde entier aura dans les oreilles les mêmes petits bâtonnets blancs, où sera la diversité, l’originalité ? Alors, en attendant qu’Apple se décide à lancer des écouteurs de toutes les couleurs, on peut toujours s’intéresser aux AirPods Stickers !

Comme son nom l’indique assez clairement, il s’agit d’autocollants à poser sur les tiges histoire que ses cages à miel ressortent du lot. Vingt stickers sont proposés, qui vont du plus discret au plus voyant, on a un petit faible pour le modèle Flames qui donne un petit côté Jacky aux AirPods.

La pose de ces autocollants semble au moins aussi compliquée que pour les stickers pour iPhone (il ne faut pas oublier de les entourer d’un scotch pour que les écouteurs entrent dans leur boîtier sans souci). Chaque modèle se décline en quatre coloris et est proposé à 9,50 $ (il y a des frais de port pour l’international).