Alpina présente la première montre de plongée connectée

Anthony Nelzin-Santos |

Baselworld n’ouvrira pas ses portes avant le 23 mars, mais quelques fabricants dévoilent déjà les nouveautés qu’ils présenteront lors de la grande messe de l’horlogerie. C’est le cas d’Alpina, qui annonce la première montre de plongée connectée, la Seastrong Horological Smartwatch.

Seastrong Horological Smartwatch. Image Alpina.
Seastrong Horological Smartwatch. Image Alpina.

Avec son large boitier coussin de 44 mm de diamètre surmonté d’une lunette rotative, cette montre adopte une apparence on ne peut plus traditionnelle. Alpina a joué la carte de la sobriété : le cadran protégé par un verre saphir est sombre, le boitier en acier et fibre de verre est sombre, le bracelet en caoutchouc est sombre, la lunette est…

…oui, sombre, du moins sur le modèle entièrement noir. Lorsqu’elle est déclinée en bleu, kaki ou orange, elle apporte une touche de couleur qui allège visuellement ce gros boitier. Comme sur la plupart des montres de plongée, elle ne tourne que dans un seul sens pour éviter les problèmes de gestion du temps passé sous l’eau.

La Seastrong Horological Smartwatch embarque le nouveau mouvement MMT–282, plus compact que le mouvement MMT–284 des précédentes montres connectées d’Alpina, désormais propriété du groupe Citizen. Doté d’un vibreur, ce mouvement ne se contente plus de compter les pas et de suivre le sommeil, mais peut aussi prévenir de la réception d’un appel ou d’un message.

Seastrong Horological Smartwatch. Image Alpina.
Seastrong Horological Smartwatch. Image Alpina.

L’ensemble des données et réglages sont stockés et synchronisés dans l’application MMT–365. Plus perfectionné, ce nouveau mouvement est deux fois plus économe que son prédécesseur, puisqu’il peut maintenant tenir quatre ans sur la batterie intégrée. La Seastrong Horological Smartwatch est elle près de deux fois moins chère que les autres montres connectées d’Alpina, puisqu’elle est proposée au prix de 595 €.

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Aperçu des BeatsX

Stéphane Moussie |

Annoncés en septembre en même temps que l’iPhone 7, les BeatX sont enfin en vente. Avant notre test complet, nous vous proposons un aperçu en photos.

La boîte est volumineuse pour des écouteurs intra-auriculaires. Cliquer pour agrandir
C’est qu’elle contient plusieurs accessoires : trois paires d’embouts supplémentaires, des tours d’oreille pour renforcer le maintien, un petit câble Lightning, un étui de transport en silicone, et des fascicules, dont un code (flouté pour les besoins de l’article) pour accéder à Apple Music pendant trois mois. Cliquer pour agrandir
L’étui, qui ne se ferme pas complètement, peut contenir les BeatsX et le câble Lightning. Cliquer pour agrandir
Les BeatsX sont constitués de deux parties : le câble Flex-Form flexible qui entoure le cou (ou le col) et le câble plat classique qui mène jusqu’aux écouteurs.Cliquer pour agrandir
La télécommande qui permet d’invoquer Siri, outre les actions habituelles. Cliquer pour agrandir
Le port Lightning intégré au câble Flex-Form. L’autonomie annoncée est de 8 heures, soit trois de plus que les AirPods. Cliquer pour agrandir
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Les BeatsX sont plus petits que les AirPods, qui doivent faire tenir toute leur électronique dans les écouteurs. Cliquer pour agrandir
Grâce à la puce W1, le jumelage est un jeu d’enfant. Il suffit d’appuyer sur le bouton dédié pour qu’ils apparaissent sur iPhone.
Les deux écouteurs sont aimantés. Cliquer pour agrandir
Et la qualité sonore ? Nous ne les avons pas encore essayés assez longtemps pour nous faire un avis définitif, mais il est clair qu’ils ne manquent pas de basses. Cliquer pour agrandir

Nous consacrerons un test complet à ces écouteurs dans les prochains jours. Si vous les avez acheté, n’hésitez pas à faire de vos impressions (et des éventuels problèmes).

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Oculus réduit les espaces de démonstration chez Best Buy

Mickaël Bazoge |

Les constructeurs de produits VR sont confrontés à la même problématique qu’Apple avant 2001 et l’ouverture de ses premières boutiques : pour vendre des appareils, il faut que le grand public puisse les toucher et les tester. Facebook a donc noué un accord avec l’enseigne Best Buy pour présenter l’Oculus Rift à un maximum de consommateurs américains. L’opération a débuté en avril dernier, avec des points de vente présents dans 48 magasins. Un chiffre qui a rapidement grimpé à 500 magasins au mois d’août.

Faut-il y voir une baisse de l’intérêt des consommateurs pour la réalité virtuelle ? Toujours est-il que Facebook va fermer 200 de ses points de démonstration. D’après des vendeurs de Best Buy qui l’ont soufflé à Business Insider, il peut se passer plusieurs jours entre deux démonstrations, personne ne demandant à tester le dispositif. Des « performances » en berne, c’est l’explication glissée en interne par l’enseigne.

Mais ce n’est pas celle donnée par Oculus, qui confirme certes la fermeture de ces points de vente, mais sous couvert de « changements saisonniers ». Il reste possible de tester le casque VR dans des « centaines » de Best Buy en Amérique du Nord, soutient Facebook, qui estime (avec raison, sans doute) que « la meilleure manière d’en savoir plus sur la VR c’est au travers d’une démonstration ». Le réseau social compte bien saisir toutes les opportunités pour présenter son équipement VR au plus grand nombre, mais cela passera par des événements spéciaux et des échoppes éphémères.

Pendant la période des fêtes l’an dernier, les « ambassadeurs » Oculus vendaient bien quelques unités chaque semaine, mais le flux s’est tari depuis. Facebook ne pousse cependant pas les ventes, l’entreprise préférant faire connaitre sa solution au plus grand nombre. Durant le troisième trimestre, Best Buy avait annoncé que 300 000 démonstrations VR avaient eu lieu dans les magasins de l’enseigne, mais ce chiffre prend en compte non seulement l’Oculus Rift, mais aussi le PlayStation VR.

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Les BeatsX finalement en vente (aussi dans les Apple Store)

Mickaël Bazoge |

Après un petit moment de flottement, les BeatsX sont finalement disponibles à la vente sur l’Apple Store ! Les écouteurs sans fil (enfin, à part entre les intra-auriculaires) sont proposés à 149,95 € en quatre coloris : noir, bleu, blanc et gris. La livraison est prévue à partir du mardi 14 février, mais il sera (sans doute) possible d’acheter les écouteurs dans un Apple Store dès ce matin, en fonction des stocks reçus.

Les BeatsX devaient être lancés à l’automne dernier, mais ils ont pris leur temps… et ils ont aussi laissé le temps à Apple de commercialiser ses AirPods. Les intras sans fil de Beats ont quelques arguments à faire valoir (sous réserve de notre test, bien sûr !) : la puce W1 d’Apple, jusqu’à 8 heures d’autonomie, une recharge Fast Fuel (cinq minutes pour deux heures d’écoute), plusieurs embouts pour accommoder le maximum d’oreilles, et une télécommande traditionnelle — que certains préfèreront à Siri.

Et bien sûr, le prix est aussi très intéressant : à 149,95 €, les BeatsX sont 30 € moins onéreux que les AirPods. De plus, Apple offre généreusement trois mois d’abonnement gratuit à Apple Music. Si vous ne trouvez pas votre bonheur en Apple Store, pensez aussi à la Fnac, Darty et Boulanger.

Mise à jour — Suivant les modèles, les Apple Store peuvent avoir du stock. C’est le cas des BeatsX noir, que l’on peut dénicher dans plusieurs boutiques :

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Les BeatsX sont (presque) en vente aujourd'hui

Florian Innocente |

C'est aujourd'hui que sont commercialisés les écouteurs BeatsX équipés de la nouvelle puce W1 d'Apple. Le produit sort plus tard que prévu initialement et son lancement est encore hésitant à en juger par ce que proposent les différentes boutiques en ligne.

Chez Darty et chez Boulanger les écouteurs sont en vente au tarif de 149 €. On peut les glisser dans son panier mais l'attente sera ensuite de respectivement 10 et 6 jours. Est-ce optimiste ?

Car à la Fnac, autre scénario, alors que l'enseigne avait correctement indiqué une sortie ce jour, les écouteurs ne sont subitement plus en vente et marqués comme indisponibles. Gageons que cela évoluera au fil de la journée.

Quant à l'Apple Store qui devrait donner le ton, eh bien c'est la même chose, pas moyen de glisser les BeatsX dans son panier d'achat.

À noter que partout ne sont affichées que les versions noire et blanche, les deux coloris supplémentaires annoncés cette semaine, bleu et gris, sont pour le moment absents.

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Gameband : une montre pour les nostalgiques des jeux Atari

Mickaël Bazoge |

La catégorie « jeux vidéo » n’est pas la plus fournie dans les boutiques des montres connectées, et ce quelle que soit la plateforme. Il existe bien quelques jeux sur watchOS et Android Wear, mais à une poignée d’exceptions près, ils n’ont rien de vraiment excitants ou d’intéressant. Il faut dire que les petits écrans et la fatigue que l’on ressent rapidement dans le bras à force de le maintenir à portée de doigts n’aident pas vraiment.

Il existe sûrement, quelque part dans le monde, des joueurs invétérés qui ne demandent qu’à céder à leur passion dévorante en tout temps. La Gameband a été imaginée pour eux. Ce produit, proposé au financement participatif sur Kickstarter, n’est certainement pas le plus joli du monde mais il a d’autres qualités : on peut jouer avec !

Et pas à n’importe quels jeux, puisque la Gameband est fourni avec PixelFurnace, un logiciel de bureau « à la iTunes » qui permet de choisir des titres vintage depuis une sélection qui ne demande qu’à s’élargir. Parmi les titres disponibles, on trouve effectivement des classiques increvables d’Atari comme Asteroids, Pong, Breakout, Centipede…

Techniquement parlant, cette montre intègre un écran AMOLED d’1,6 pouce (320 x 320), un Snapdragon 2100, 512 Mo de RAM, 4 Go de stockage, un slot SD (mais oui !), le support du Wi-Fi, une batterie de 400 mAh, ainsi qu’un port USB-C. Le tout fonctionne sous une version custom’ d’Android 6.0.1 (Alexa fait partie des apps intégrées).

Plusieurs déclinaisons sont proposées à des prix qui débutent à 149 $. On a un petit faible pour le modèle équipé d’un bracelet griffé Atari ! Les premières livraisons débuteront en septembre (2017).

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Avec Android Wear 2.0, Google se relance face à l'Apple Watch

Mickaël Bazoge |

Android Wear 2.0 est une mise à jour contrariée. Elle devait en effet être disponible à l’automne dernier, mais Google en a repoussé la sortie au 8 février, après avoir fourni plusieurs aperçus aux développeurs. Les nouveautés sont nombreuses, comme on l’imagine, et par certains côtés Android Wear 2.0 va plus loin que watchOS.

Il est ainsi possible de télécharger des applications directement depuis une montre sous Android Wear 2.0. Et si celle-ci intègre une connexion cellulaire (c’est le cas de la Watch Sport de LG), il n’est même plus utile d’être relié à un smartphone pour profiter des apps. Autre nouveauté qui distingue Android Wear de watchOS : un clavier apparait quand on veut répondre à un message… Il reste possible, heureusement, de dicter une réponse, de la griffonner, d’envoyer un émoji ou une suggestion de réponse.

La nouvelle version d’Android Wear embarque également Google Assistant, l’intelligence artificielle inaugurée avec Google Home et les smartphones Pixel. L’assistant connecté du moteur de recherche n’a toujours pas été localisé en français (uniquement en anglais et en allemand), il faudra s’en passer encore pour un moment.

Les cadrans ont été revus avec la possibilité d’y ajouter des complications tierces. Comme sous watchOS, il est possible de basculer facilement d’un cadran à un autre en balayant le doigt sur l’écran. Le moteur de recherche a aussi mis l’accent sur la mesure de l’effort sportif ; Google Fit permet désormais de relever les séries de musculation, en plus des squats, des pompes et des exercices abdominaux. À quand sur l’Apple Watch ?

Android Wear 2.0 sera proposé comme mise à jour sur plusieurs modèles déjà disponibles dans le commerce, dont les ZenWatch 2 et 3 d’Asus, les G Watch et Watch Urbane de LG, la Moto 360 2nd Gen, la Huawei Watch…

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