C'était devenu un secret de polichinelle et c'est maintenant officiel : Free Mobile adopte enfin l'Apple Watch. L'opérateur saute finalement le pas en commercialisant aujourd’hui la montre sur sa boutique et en proposant gratuitement l’option à ses abonnés ! Pas de forfait adapté, pas d’option supplémentaire, ni même de frais d’activation, il suffit d’être abonné chez Free Mobile avec un forfait 5G pour bénéficier gratuitement d’une eSIM dédiée à la montre d’Apple. La connexion se fera en 4G uniquement sur l’Apple Watch, ce qui n’est pas bien gênant à l’usage, surtout à ce prix-là.
Capture site Free Mobile, image WatchGeneration.
Si vous êtes déjà abonné Free Mobile et que vous avez une Apple Watch avec puce cellulaire, vous pouvez activer l’option dès maintenant. L’opération se fait dans l’app Watch de l’iPhone associé à la montre, le site de l’opérateur s’affichera par ce biais et après connexion avec vos identifiants Free, vous pourrez activer la SIM virtuelle indispensable au bon fonctionnement de la fonction. Vous trouverez aussi un bouton pour activer l’option depuis l’app mobile de Free et le site client dans un navigateur.
Dans tous les cas, Free indique qu’il n’est possible d’activer l’eSIM pour Apple Watch qu’une seule fois par forfait, ce qui semble assez logique. C’est la seule restriction notable, pour le reste, on a accès au réseau 4G (et uniquement 4G) de l’opérateur depuis sa montre, avec les mêmes limites de données que depuis un smartphone.
Image WatchGeneration.
D’expérience, on sait que l’Apple Watch consomme très peu de données, alors on peut dire que Free Mobile n’a pas pris un grand risque. Reste que la gratuité est une exception sur ce marché : Orange comme SFR demandent 5 € par mois en plus du forfait de base pour le droit d’utiliser le réseau cellulaire depuis sa montre. Il faut souvent aussi ajouter des frais de mise en place, en général facturés 10 €, si bien que l’offre de Free Mobile est vraiment compétitive par rapport aux autres.
Il aura donc fallu attendre six ans et demi pour qu'un nouvel opérateur français prenne en charge la montre. Pourquoi une attente si longue ? Xavier Niel avait affirmé l’année dernière qu’il n’y avait pas (ou plus) d’obstacle technologique. Le dernier point de blocage se situait dans les négociations avec Apple, qui exige que ses partenaires distribuent la montre dans l’ensemble de leurs points de vente. C’est aussi le cas sur le site, où Free a ajouté une rubrique dédiée aux montres connectées.
Orange a été le premier à gérer les Apple Watch cellulaires, et ce dès 2017, année de sortie de la Series 3, celle qui a inaugurée cette connexion. SFR l’a suivi deux ans plus tard. Maintenant que Free a rejoint le mouvement, il ne manque plus que Bouygues.
Il n’est pas impossible que Free lève enfin le voile sur son offre Apple Watch aujourd’hui même. En attendant l'annonce officielle, une découverte non négligeable a été partagée par TiinoX83 sur les réseaux sociaux. L'analyse du fichier de configuration opérateur (IPCC) destiné à Free Mobile a permis de mettre en lumière plusieurs informations cruciales sur la connectivité de la montre connectée. Première observation : la 5G ne sera pas prise en charge.
Si l'absence de 5G peut décevoir, il faut rappeler que sa prise en charge est pour le moment limitée à une poignée de modèles sur le marché. Précisons que si Orange offre la prise en charge de la 5G sur la toquante d’Apple, ce n’est pas le cas de SFR. D’autre part, le fichier de configuration confirme cependant une prise en charge complète de la 4G, socle de la connectivité de la montre.
Les paramètres indiquent l'activation de la VoLTE (Voice over LTE), garantissant des appels de bonne qualité. Cette qualité audio est renforcée par la présence du codec EVS-WB (Enhanced Voice Services - Wideband). Concrètement, cela signifie que les abonnés profiteront d'une voix en haute définition (16 kHz) avec un débit allant jusqu’à 24,4 kb/s.
Je viens de décortiquer le carrier bundle watchOS de Free Mobile (37.1), et voilà quelques infos
✅ 4G ❌ 5G ✅ VoLTE ✅ VoWiFi (également autorisé en roaming) ✅ SMS via 4G ✅ SMS via Wi-Fi ✅ IPv6 ✅ Codec EVS-WB (16 kHz, jusqu’à 24,4 kb/s) ✅ Itinérance Orange 2G/3G autorisé pic.twitter.com/z6ibWmw48l
L'autre bonne nouvelle concerne la couverture en intérieur. Le profil opérateur valide la présence du VoWiFi (appels via Wi-Fi), une fonctionnalité essentielle lorsque le réseau cellulaire pénètre mal dans les bâtiments. Fait notable : cette fonction est également autorisée en roaming, ce qui laisse à penser que l’offre de Free fonctionnera à l’étranger.
Côté messagerie, la continuité est assurée : l'envoi et la réception de SMS sont configurés pour fonctionner aussi bien via le réseau 4G que via le Wi-Fi. Enfin, et c’est tout sauf une surprise concernant Free, la prise en charge de l’IPv6 est bel et bien au programme.
L’itinérance Orange : un filet de sécurité bien actif
Le fichier de configuration révèle également un point important pour la couverture : l'itinérance sur le réseau Orange 2G/3G est officiellement autorisée.
Contrairement à certaines idées reçues, cette option est loin d'être anecdotique. En effet, les modèles d’Apple Watch avec connectivité cellulaire (ceux de 2024 comme les générations précédentes) sont parfaitement compatibles avec les réseaux 3G. Cette configuration signifie donc que dans les zones où le réseau propre de Free ne passe pas, la montre devrait être capable de basculer automatiquement sur le réseau partenaire Orange. Cela assure une continuité de service vitale pour les appels et les notifications, agissant comme un véritable filet de sécurité pour l'abonné.
Avec la fin d’année vont arriver les vœux. Et parmi eux revient très souvent un élément : la santé. Et ça tombe bien, parce que des accessoires en rapport avec la santé, il en existe pléthore de disponibles pour accompagner l’iPhone ! Petit tour de cette longue liste, histoire de choisir de quoi bien commencer l’année à mettre sous le sapin.
L’Apple Watch, grand classique de la pomme
Bien entendu, dès qu’on s’attaque à la santé liée à un produit pommé, l’un des choix les plus évidents reste l’Apple Watch. Le gros avantage, c’est qu’on est sûr de ne pas se tromper : un produit Apple sera fait pour aller comme un gant à votre iPhone (du moment que celui-ci n’est pas trop vieux, bien entendu), et avec le temps, quasiment toutes les Apple Watch proposées cette année sont devenues de bons choix.
Plus discrète que l’Ultra 3, la Series 11 est déjà très complète pour suivre vos constantes. Image MacGeneration.
Et niveau santé, dès l’Apple Watch SE c’est relativement complet : capteur de fréquence cardiaque avec mesure en continu, alertes en cas de rythme cardiaque trop élevé ou irrégulier, suivi du sommeil, mais aussi accès aux nombreux programmes de sport intégrés dans l’app Exercice, que la montre saura monitorer grâce à son accéléromètre et son altimètre intégré, ainsi qu’à la puce GPS. Pour compléter le tableau, elle saura aussi mesurer les variations de température du corps, ce qui s’avèrera bien pratique pour le suivi des cycles menstruels de ces dames. Elle est disponible en deux variantes, uniquement wi-fi (249,00 € en 40 mm et 279,00 € en 44 mm), ou wi-fi + cellulaire (299,00 € en 40 mm et 329,00 € en 44 mm).
Vous en voulez plus ? L’Apple Watch Series 11 rajoute à la liste déjà confortable l’électro-cardiogramme, et la mesure du taux d’oxygène sanguin (pour une fois que l’Europe a une fonction que les US n’ont pas sur la montre, il ne faudrait pas s’en priver !). Par rapport à la SE 3, la Series 11 propose aussi un écran légèrement plus grand et plus lumineux, en plus d’un boîtier en aminci du plus bel effet. Comme la SE 3, elle est disponible en version wi-fi uniquement (419,00 € en 42 mm ou 449,00 € en 46 mm), ou wi-fi + cellulaire (569,00 € en 42 mm ou 599,00 € en 46 mm). Cerise sur le gâteau, la version Wi-Fi + Cellular est aussi proposée en titane, au choix naturel, doré ou noir.
Mais la plus complète de toutes, c’est bien entendu l’Apple Watch Ultra 3 : étanche à 100 mètres, elle complète les fonctions déjà présentes sur les Series 11 par un profondimètre intégré et un boîtier renforcé lui donnant cet aspect baroudeur prêt à toutes les aventures. Elle n’est disponible qu’en une seule taille et obligatoirement avec l’option cellulaire intégrée, en deux goûts au choix, titane naturel ou titane noir, pour 899 €.
Vous préférez porter une montre classique ? Alors l’anneau vous guidera tous
Il est des moments où on n’a pas envie de montre connectée, que ce soit pour des raisons esthétiques (tout le monde ne veut pas forcément avoir un écran allumé sur un bracelet, et certaines soirées ne s’y prêtent pas) ou pour des raisons de préférence (le charme d’une montre automatique...). Mais dans ce cas, comment faire pour suivre ses constantes, et ses prouesses sportives ?
C’est là que l’anneau connecté arrive. Avec ses multiples capteurs, il est tout aussi précis et utile que la montre connectée, avec deux avantages sur celle-ci : vous pouvez mettre la montre de votre choix à votre poignet (voire ne pas en mettre du tout), et l’autonomie est bien plus conséquente que la tocante d’Apple, avec une bonne semaine avant de demander à être rechargé.
Si les utilisateurs Android ont le choix le plus large, ceux sur iOS se voient amputés de la possibilité Samsung, le Galaxy Ring n’étant compatible qu’avec l’OS de Google. Ne reste alors que trois solutions vraiment sérieuses : le RingConn Gen 2 (271,00 €), l’Ultrahuman Ring Air (265,00 €), ou le Oura Ring 4 (399,00 €). Si les trois se valent niveau nombre de fonctions, Oura a l’avantage de proposer les mesures les plus fiables, et l’app la mieux intégrée à iOS. Quelque chose me dit d’ailleurs qu’on reviendra sur le sujet très bientôt...
Balance, thermomètre, tensiomètre... le festival Withings
Grand spécialiste depuis des années maintenant de la balance connectée à iOS, Withings continue de proposer toute une gamme de pèse-personnes aux fonctions diverses et variées : de la version de base Body Smart (99,00 €) donnant déjà le poids (heureusement !), la masse musculaire, la masse grasse, la masse osseuse, mais aussi le pourcentage d’eau ainsi que la fréquence cardiaque mais aussi l’IMC, elle est chapeautée par la Body Comp (199,95 €), qui rajoute des indications plus poussées comme la santé artérielle, ainsi qu’un suivi du stress cardio, grâce entre autres à la mesure de la vitesse d’onde de pouls. Ça ne vous suffit toujours pas ? Pour les plus inquiets, la Body Scan (399,95 €) est la plus affûtée : avec un ECG en 6 points et l’analyse de la composition corporelle séparée entre bras, jambes et tronc, il y a de quoi avoir tous les détails de votre corps.
Oui, il faut tenir une poignée pour le scan complet de la Body Scan. Mais ça vaut le coup ! Image Withings.
Envie de surveiller encore plus de choses ? La gamme comprend aussi le thermomètre BeamO (249,00 €) qui réunit température sans contact, moniteur ECG, oxymètre et stéthoscope (oui oui !), mais aussi le BPM Connect (125,07 €), tensiomètre connecté qui vous permettra de suivre votre tension sur l’année grâce à l’app maison.
Il existe encore bien d’autres appareils de santé connectés à iOS : la liste serait tellement longue qu’il faudrait y passer des jours ! Mais au moins, avec cette petite sélection, vous devriez pouvoir surveiller vos constantes au plus près pour bien commencer la nouvelle année.
La fonction de traduction en direct des AirPods, qui vient tout juste d’arriver en Europe, va bientôt avoir de la concurrence. Limitée initialement aux Pixel Buds, la fonction de traduction en temps réel de Google Translate va être généralisée progressivement.
C'est là que la stratégie de Google diverge radicalement de celle de Cupertino. Alors qu'Apple verrouille cette fonctionnalité à son propre écosystème matériel — il vous faut impérativement des AirPods pour en profiter —, la firme de Mountain View abat les cloisons. La dernière mise à jour de Google Translate permet d'utiliser la traduction vocale en direct avec n'importe quel casque ou écouteurs, pour peu qu'ils soient connectés à un téléphone Android compatible.
Le déploiement, qui débute aujourd'hui en version bêta, prend en charge plus de 70 langues. L'idée est simple : démocratiser l'interprète de poche sans obliger l'utilisateur à investir dans une paire d'écouteurs spécifique. Une approche agnostique qui contraste avec la « magie » d'Apple, conditionnée presque toujours par la présence d’une puce H1 ou H2.
Image : WatchGeneration
Gemini à la rescousse du contexte
Google ne se contente pas d'ouvrir les vannes matérielles, elle revoit aussi la copie logicielle. L'application Translate va bénéficier de l'intégration de Gemini pour affiner la précision des traductions. L'objectif est de mieux saisir les nuances, les expressions idiomatiques et l'argot, des domaines où la traduction littérale montre vite ses limites.
L'exemple donné par Google est parlant : une expression comme "stealing my thunder" (se faire voler la vedette) sera désormais traduite en tenant compte de son sens figuré, plutôt que d'une incompréhensible histoire de vol de tonnerre. C'est une amélioration bienvenue pour les traductions textuelles, qui cherchent à s'éloigner du mot à mot robotique pour gagner en naturel.
Un professeur de poche et un calendrier échelonné
Enfin, Google lorgne du côté de Duolingo avec l'extension de sa fonction "Practice". Déjà en bêta depuis août, cet outil intégré directement à Translate utilise l'IA pour générer des sessions d'apprentissage personnalisées, basées sur votre niveau de compétence. Vocabulaire, compréhension orale : Google veut que vous n'ayez plus besoin de traduire, mais que vous finissiez par comprendre.
Comme souvent, il faudra patienter un peu avant de voir débarquer tout cela sur nos iPhone. Si la traduction vocale en direct arrive dès aujourd'hui sur Android aux États-Unis, au Mexique et en Inde, elle ne sera disponible sur iOS que l'année prochaine. Les améliorations textuelles. Le mode « Entrainement » est pour sa part en bêta et n’est pas forcément encore déployé chez tout le monde.
Connaissez-vous la technologie Auracast ? Si vous avez un iPhone, probablement pas et c'est bien dommage. Car cette technologie portée par le consortium Bluetooth est extrêmement pratique et bien prise en charge par les appareils Bluetooth actuels… mais pas réellement par le logiciel.
Commençons par quelques explications : Auracast est une technologie de broadcast. La traduction française, diffusion, ne donne pas exactement la même nuance qu'en anglais. Dans le jargon technique, le broadcast implique une distribution d'une source (un émetteur) vers un ou plusieurs clients (récepteurs). La diffusion hertzienne de la télévision (la TNT) est par exemple du broadcast (un seul flux est émis depuis une antenne, pour tous les téléviseurs dans la zone), quand la diffusion d'une vidéo sur YouTube ne l'est pas : le serveur produit un flux par client.
Dans le cas du Bluetooth, le passage en broadcast amène une différence fondamentale dans le fonctionnement. Avec des écouteurs classiques, mettons des AirPods, il y a un émetteur (votre iPhone ou votre Mac) et un récepteur1 (vos AirPods). Avec Auracast, il y a un émetteur et un ou plusieurs récepteurs, ou même aucun. N'importe quel appareil compatible Auracast peut se connecter sur le flux produit pour l'écouter, avec une synchronisation entre les équipements. Cette diffusion amène un changement important dans la façon d'écouter de la musique : dans le fonctionnement traditionnel, le récepteur a un contrôle sur l'émetteur. Vous pouvez changer de piste, mettre en pause ou revenir en arrière depuis des écouteurs ou une enceinte. Avec Auracast, ce n'est pas le cas : il est possible de modifier le volume, mais pas de contrôler l'émetteur. Le flux est transmis en continu, et les récepteurs sont passifs sur ce point.
Mais à quoi ça sert ?
Présenté comme ça, sans contexte, l'intérêt peut sembler faible et c'est logique : la notion de TV linéaire tend à disparaître et les utilisateurs apprécient de contrôler la musique qu'ils écoutent. Mais Auracast est un complément, qui a des avantages dans de nombreux cas.
Le premier va être celui de la télévision, justement, ou de la vidéo en général : il est possible de partager un flux facilement entre plusieurs personnes sans reposer sur des technologies propriétaires. Les usages sont multiples : regarder une vidéo dans un train ou un avion avec deux casques, permettre à une personne malentendante d'obtenir un flux émis vers des aides auditives, etc. Un cas parfois mis en avant est aussi celui des endroits bruyants : un téléviseur dans un bar ou un aéroport peut diffuser en Auracast, et n'importe quel casque ou smartphone compatible peut directement se connecter au flux sans devoir demander de monter le son, au risque de gêner d'autres clients. La technologie peut également être déployée dans les salles de spectacle, pour permettre à une personne éloignée de la scène de bien entendre.
Les écouteurs LG xboom Buds sont efficaces et pas trop cher. Et l'app LG gère bien Auracast. Image iGeneration.
C'est aussi une solution pratique pour les personnes avec un handicap : Auracast peut remplacer la boucle magnétique employée dans certains endroits publics. Cette boucle est une vieille technologie qui permet de transmettre un flux audio (souvent issu d'un micro) vers une aide auditive. Mais elle demande une installation physique parfois compliquée à aménager, alors qu’Auracast nécessite juste un émetteur Bluetooth.
La technologie est intéressante dans d’autres contextes : pour diffuser des commentaires audio dans un musée, émettre des versions en plusieurs langues lors d’un keynote, etc. Il est aussi possible d'imaginer la transmission des commentaires dans des stades ou de proposer les annonces vocales dans les trains via Auracast. Plus généralement, tout ce qui peut se contenter d'une diffusion en continu, à la manière d'une radio, peut tirer parti de la technologie.
Un peu de technique
Pour utiliser Auracast, il y a plusieurs points techniques à prendre en compte. Premièrement, le matériel. Auracast repose sur le Bluetooth LE (la version basse consommation apparue avec le Bluetooth 4.0) et sur son codec LC3. C'est quelque chose de parfois mal compris, mais la majorité des appareils Bluetooth qui diffusent de l'audio s'appuie encore sur la version classique de la norme et pas sur la variante LE. Sans entrer dans les détails, la transmission en Bluetooth passe par une compression avec pertes et elle peut utiliser de nombreux codecs. Les plus courants sont le SBC (obligatoire), l'AAC (optionnel, porté par Apple) et l'aptX, mais il en existe d'autres (MP3, LDAC, etc.). En Bluetooth LE, c'est le codec LC3 qui a été choisi, et il offre une meilleure qualité que l'antique SBC.