Star Wars, bientôt l'édition VR ?

Mickaël Bazoge |

Industrial Light & Magic, dont l’acronyme ILM est bien connu des cinéphiles pour avoir posé les bases des effets spéciaux modernes avec Star Wars, n’a pas cessé de travailler depuis. Le studio, créé par George Lucas en 1975, n’a jamais cessé d’imaginer de nouveaux mondes depuis, et la réalité virtuelle est un des champs d’expérimentation qui l’intéresse au plus haut point.

Durant la Game Developper Convention qui se tiendra en mars à San Francisco, ILM tiendra une conférence durant les sessions destinées à la réalité virtuelle. La société y annoncera sa volonté d’injecter de la « réalité virtuelle cinématique » dans « une des franchises cinématographiques les plus connues de tous les temps ». Il peut certes s’agir d’Indiana Jones, ce qui aurait du sens, mais on sent que Star Wars sera plutôt l’invité vedette de cette conférence.

La réalité virtuelle n’est pas tout à fait absente de la saga. À l’occasion du Réveil de la Force, Disney a proposé une petite balade à 360° sur Jakku (à visiter aussi sur iPhone, avec l’aide d’un casque). Espérons maintenant que Disney ne veuille pas rééditer toute la saga en VR, comme George Lucas l’avait fait en multipliant les effets spéciaux…

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Comment effacer les rayures de votre Apple Watch

Anthony Nelzin-Santos |

Il est difficile de rayer le saphir qui recouvre l’écran de l’Apple Watch, bien plus que de rayer l’acier poli du boîtier(*). Mais les amateurs de montres le savent, les petites rayures peuvent être « effacées » en quelques minutes à l’aide d’un simple coup de polish.

Avant toute chose

Si cette opération est simple, elle demande quelques précautions, les produits utilisés pouvant faire plus de mal que de bien. Aussi avons-nous testé deux boîtiers : un légèrement rayé d’abord, pour observer les éventuels effets après plusieurs semaines ; puis un autre plus sérieusement rayé, pour mesurer l’efficacité sur un boîtier qui a bien vécu.

Le deuxième boîtier, couvert de micro-rayures, est celui que l’on peut voir sur ces photos.
Le deuxième boîtier, couvert de micro-rayures, est celui que l’on peut voir sur ces photos.

Mais nous n’avons pas testé de boîtier « noir sidéral », dont l’acier est recouvert d’une couche micrométrique de carbone amorphe, aux propriétés voisines du diamant. Un bijoutier lyonnais nous a expliqué que ce genre de traitement résistait bien aux rayures, et qu’il suffisait parfois d’un coup de chiffon microfibre pour faire disparaître les plus petites. Mais les plus grosses ne peuvent pas être rattrapées par polissage, puisque cette opération attaquerait la couche de revêtement.

De même, il n’est pas possible de rafraîchir les éléments brossés, du moins pas facilement. Si la boucle de votre bracelet à maille milanaise est rayée, mieux vaut donc vous tourner vers un bijoutier. De même si vous préférez ne pas polir vous-même votre Apple Watch, faites le tour des horlogers de votre quartier : rares sont ceux qui ont déjà travaillé dessus, mais sauf à ce qu’ils refusent d’intervenir sur un appareil électronique, ils devraient être en mesure de polir son boîtier pour quelques dizaines d’euros.

Le matériel nécessaire

Si toutefois vous n’avez pas peur d’user un peu d’huile de coude, le matériel pour le faire vous-même ne coûte qu’une dizaine d’euros. Le faire plusieurs fois, d’ailleurs : s’il conseille de ne pas la répéter trop régulièrement, le bijoutier que nous avons consulté assure que l’opération ne présente aucun risque particulier pour les boîtiers en acier massif, surtout si elle est réalisée avec des méthodes « douces ».

Or nous n’utiliserons pas de banc de polissage, encore moins de bricolages à base de Dremel. Non, nous utiliserons de simples lingettes à polir, que l’on peut trouver à moins de six euros les deux. Le produit dont elles sont enduites laissant une forte odeur de vanille et une désagréable sensation de gras sur les doigts, mieux vaut vous équiper de gants jetables. Après avoir utilisé la lingette, vous devrez retirer le composé de polissage sans créer de nouvelles rayures : utilisez donc un chiffon microfibre dédié à cet effet.

N’hésitez pas à recouvrir l’écran et le cardiofréquencemètre de papier à masquer : le polish ne devrait pas les rayer, mais il vaut mieux éviter d’exposer leur traitement de surface à des produits chimiques. Surtout, le papier améliorera votre prise — il serait dommage de faire tomber la montre alors que vous essayez de retirer des rayures ! Évitez le ruban adhésif plastique, qui laissera des traces de colle et glisse.

Ne vous embêtez pas à ajuster le papier à masquer au quart de millimètre près : il s’agit moins de protéger le saphir, de toute manière plus résistant aux rayures que l’acier, que d’améliorer votre prise. Il vaut d’ailleurs mieux dégager les coins, qui sont déjà suffisamment difficiles à bien polir sans que du papier ne déborde dessus.
Ne vous embêtez pas à ajuster le papier à masquer au quart de millimètre près : il s’agit moins de protéger le saphir, de toute manière plus résistant aux rayures que l’acier, que d’améliorer votre prise. Il vaut d’ailleurs mieux dégager les coins, qui sont déjà suffisamment difficiles à bien polir sans que du papier ne déborde dessus.

Polir votre Apple Watch

Une fois équipé et prêt à passer à l’action, éteignez votre Apple Watch et retirez son bracelet.

Les lingettes que nous utilisons sont déjà imbibées de produit — si vous utilisez une pâte, il faudra l’appliquer au chiffon de votre choix. Frottez doucement, surtout autour des ouvertures : l’Apple Watch résiste aux projections, mais sait-on jamais, mieux vaut éviter la noyer dans le produit de polissage.

Le bord portant la « couronne digitale » est plus difficile à polir, comme le fond tout en rondeurs. Il ne faut pas hésiter à repasser plusieurs fois sur les différentes surfaces, toujours en maintenant une légère pression.

De même, n’hésitez pas à bien approcher l’écran : si vous restez trop loin, vous laisserez des rayures tout autour, un effet particulièrement disgracieux. Au fur et à mesure de votre progression, la lingette noircira : c’est normal, et même bon signe.

Après avoir frotté toutes les surfaces métalliques, vous devrez éliminer le produit restant. Utilisez un chiffon microfibre ou un papier essuie-tout de qualité.

Mais n’essuyez pas : frottez comme vous le faisiez avec la lingette, en laissant votre chiffon absorber l’excédent de produit, pour ainsi obtenir un fini bien brillant.

Ce boîtier étant particulièrement rayé, il a fallu frotter un peu plus fort et un peu plus longtemps qu’en temps normal, mais le résultat est très satisfaisant. On retrouve une Apple Watch comme neuve, pour seulement quelques euros et quelques minutes.

(*) L’acier 316L du boîtier de l’Apple Watch est même plus « tendre » que l’aluminium 7000 du boîtier de l’Apple Watch Sport. Mais en cas de choc, l’aluminium aura tendance à marquer d’une manière bien plus difficile à rattraper que des micro-rayures sur l’acier.

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L’Apple Watch sera fatale dans le remake TV de L’Arme Fatale

Mickaël Bazoge |

Petit à petit, l’Apple Watch commence à faire partie de la vie des personnages de séries TV (en attendant une présence un peu plus massive chez monsieur et madame tout-le-monde). La montre a par exemple été vue au poignet d’une des héroïnes de Pretty Little Liars, et elle pourrait avoir une plus grande importance encore dans le remake de L’Arme Fatale.

La série de films des années 80 et 90 est en effet en passe de devenir une série TV adaptée aux goûts des téléspectateurs d’aujourd’hui. La 20th Century Fox, qui produit, a déjà nommé Damon Wayans pour reprendre le rôle de Roger Murthaugh, incarné par Danny Glover dans la saga de Richard Donner. On ne sait pas encore qui interprètera le frappadingue Martin Riggs (Mel Gibson).

La série va reprendre évidemment l’opposition classique entre les anciens et les modernes, mais on sait déjà que l’Apple Watch y jouera un rôle plus important que simplement de la figuration : après une opération au cœur qui l’a laissé pour mort pendant quelques instants, Murthaugh doit en effet surveiller son pouls régulièrement à l’aide de sa montre connectée.

En partant de cette base, on peut imaginer toutes sortes de gags liés à la folie destructive de son chien-fou de collègue. Le pilote de L’Arme Fatale est en cours de production.

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L'Apple Watch peut faire du mal aux montres mécaniques si son logiciel s'améliore

Florian Innocente |

« Pour les gens qui aiment les montres mécaniques, l’Apple Watch est à la fois sans importance et importante et l’horlogerie de luxe ne devrait pas la sous-estimer », écrit Jack Forster, rédacteur en chef du site spécialisé en belles montres, Hodinkee.

Foster a une longue expérience de l’univers des montres classiques, il est également l’auteur d’un ouvrage sur les réalisations en la matière de Cartier. Alors que l’Apple Watch va fêter sa première année en avril prochain, il dresse son premier bilan d’un mois d’utilisation. Une appréciation du produit d’Apple — sur une courte durée — que l'on peut confronter à celle publiée à peu près en même temps par Marco Arment, développeur du logiciel de podcasts Overcast et propriétaire de la sienne depuis sa commercialisation. Pour l'un l'Apple Watch a d'indéniables qualités pour intéresser des amateurs de belles mécaniques, pour l'autre elle lui a justement donné envie de porter une montre classique

Jack Forster

Les observations de Forster portent moins sur son utilisation au jour le jour que sur le produit en lui-même et sa qualité de fabrication. L’attention portée aux détails, depuis le packaging en passant par le jumelage Bluetooth — rendu « fun » — jusqu’aux bracelets, celui à maillons en particulier.

« Il s’agit probablement du meilleur design de bracelet que j’ai jamais vu sur n’importe quelle montre. » Suit une description de son mécanisme à boucle déployante et de la conception des maillons que l’utilisateur peut changer lui-même sans difficulté et sans risque pour l’ajuster à son poignet.

Le fait que le système de verrouillage soit intégré à chaque maillon, plutôt que de s'appuyer sur un mécanisme coulissant dans la boucle, permet à tout le bracelet de rester très plat, très souple et confortable. C'est conçu d'une manière extraordinairement intelligente et l'industrie de la montre devrait vraiment s'en inquiéter, et pourtant, je n'ai quasiment rien lu à ce sujet, que ce soit dans les médias spécialisés ou ailleurs.
Image : Hodinkee

Foster enfonce le clou à propos de ce bracelet qui n’est qu’un élément de l’Apple Watch mais pour lequel Apple a déployé une ingéniosité inattendue : « Si ce bracelet avait été dessiné en Suisse, il aurait probablement ajouté 4 chiffres au prix de la montre qui en aurait été équipée, et je ne suis pas sûr qu’il y ait une marque en Suisse avec l’imagination nécessaire pour concevoir aujourd’hui quelque chose comme ça. Ce n’est que l’une des parties de l’Apple Watch la plus chère — modèles Edition en or exceptés — et la montre coûte 1 099 $ au total ».

Cela ne veut pas dire que l’Apple Watch est excellente en tout, Forster est par exemple plus réservé sur l’interaction Force Touch dont on ne sait jamais si elle est utilisable ou non à l’endroit où l’on se trouve dans l’interface.

Marco Arment

C’est précisément sur le logiciel de l’Apple Watch que Marco Arment dirige ses flèches. Il se plaint de l’écran qui ne réagit pas toujours au mouvement du poignet pour afficher l’heure ou alors avec une fraction de seconde toujours trop longue. La lenteur proverbiale des apps dans watchOS est inévitablement mentionnée comme autre élément aggravant.

La partie santé de la montre échappe à sa critique, mais d’une manière générale le développeur juge que l’objet mériterait de s’en tenir à trois domaines principaux : l’heure, les notifications et le suivi de l’activité.

Pour être géniale, l'Apple Watch doit être repensée pour en faire moins et mieux. Rien n'indique toutefois qu'Apple s'oriente dans cette direction, mais il ne faut jamais dire jamais.

Il est en revanche admiratif du travail réalisé sur le volet matériel « À moins de 1 000 $, je n’ai rien trouvé sur le marché des montres qui soit aussi joli et agréable ». Même compliment à l’endroit des bracelets imaginés par Apple.

Jack Forster souligne l’équilibre entre le produit Apple Watch et la communication autour de lui. Le fond n’a pas été négligé aux dépens de la forme :
Ce qui m'effraie dans l'horlogerie de luxe aujourd'hui ces temps ci, c'est qu'elle oublie souvent que concevoir un bon design, et faire en sorte que les détails soient réussis, reste quelque chose d'important. Oui, le luxe est dans une certaine mesure une histoire que l'on va raconter, mais souvent cela se traduit par des produits et des sociétés qui en font énormément sur le marketing et pas assez sur la qualité du produit, et lorsque le décalage entre l'histoire et le produit devient trop visible, les gens s'en désintéressent complètement.

Jonathan Ive avait expliqué l’année dernière que son équipe et lui-même étaient fans de [leurs] montres, d’où une approche plus respectueuse de la concurrence existante lors de la conception de l’Apple Watch, alors qu’ils détestaient les téléphones qu’ils utilisaient avant la création de l’iPhone. Un goût pour les montres chez les concepteurs de l’Apple Watch que devine Forster : « Tout porte à croire qu’elle a été conçue par des gens qui aiment et comprennent les montres, et qui savent que pour qu’un produit de ce genre que l’on va porter puisse fonctionner, il faut qu’il y ait un coup de foudre […] L’Apple Watch est séduisante; les Google Glass ne l’étaient pas, et le reste appartient à l’histoire ».

Ce qui amène à sa remarque sur la place que revêt cette montre dans le milieu de l’horlogerie. D’un côté, l’Apple Watch n’a aucune sorte d’importance pour les amateurs de belles montres mécaniques « parce que ce qu’elle offre est entièrement différent du plaisir que l’on peut ressentir avec une belle montre forte d’une histoire extraordinaire, comme la Sub ou la Speedmaster, ou la relation que vous avez face au mélange d’esthétique, de mécanique et de savoir-faire artisanal venant de gens comme Patek ou Lange ».

Omega Speedmaster Professional

D’un autre côté, c’est là justement que l’Apple Watch se révèle un « petit peu dangereuse », même pour les marques de luxe. Par le fait qu’Apple est parvenue à inventer une nouvelle expérience avec cette montre, comme elle l’avait fait avec l’iPhone auparavant. Chose qui devrait inviter l’industrie horlogère à ne pas verser dans l’auto-satisfaction :

Personne ne sait si cette expérience se révélera au bout du compte plus attractive que celle offerte par les montres mécaniques. Mais l'industrie horlogère de luxe ne peut se permettre d'être complaisante. Si elle échoue à comprendre que ce que l'Apple Watch représente n'est pas une concurrence, mais une autre expérience convaincante — et si elle ne prend pas garde au fait que le luxe, en définitive, est une affaire de soins apportés aux détails et pas du marketing ou d'un positionnement tarifaire, elle pourrait aller au devant de sérieux problèmes.

Chez Arment, son expérience mitigée avec le logiciel de l’Apple Watch l’a conduit à se tourner vers une montre mécanique (de l’allemand Nomos) : « Je suis complètement converti et je ne me vois pas porter beaucoup l’Apple Watch à l’avenir — les fonctions supplémentaires qu’elle offre ne me sont pas assez utiles face au plaisir que procure une belle montre mécanique ».

Minimatik de Nomos

Une montre dépourvue de logiciel, plus simple dans son fonctionnement, moins sujettes aux caprices de l’informatique qui s’insère dans toujours plus d’objets de notre quotidien « C’est agréable d’avoir quelque chose qui en fait moins, qui fonctionne en permanence, qui n’a jamais besoin de mises à jour logicielles, de câble, qui n’a pas besoin d’être chargé et dont la longévité sera certainement supérieure à la mienne ».

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Mattel : un nouveau casque View-Master mieux de partout

Mickaël Bazoge |

Il y a un an pile, Mattel et Google dévoilaient une nouvelle mouture du View-Master. Ce casque, qui permettait de visionner des images en relief dans des bobines vendues séparément, a été remis au goût du jour en y intégrant le support de smartphones et de la réalité virtuelle. Il existe une version pour iPhone, dûment vendue par Apple (lire : Apple vend la visionneuse VR View Master de Mattel).

Cliquer pour agrandir

Surprise, le fabricant de jouets a annoncé aujourd’hui le successeur de ce casque, le View-Master Virtual Reality Viewer 2.0. Un patronyme un peu long, mais qui offre quelques améliorations bienvenues : des optiques de meilleure qualité, une molette d’ajustement et une sortie son. Il est aussi possible d’y glisser des smartphone de 4 pouces comme les iPhone 5.

Tout cela s’accompagne d’un design revu plus futuriste. Le prix est de 10 $ plus élevé, à 40 $ le dispositif. Sera-t-il un jour distribué en France ? La première itération de ce casque est vendue 49 € par un tiers sur Amazon. Il faudra en tout cas attendre cet automne pour chasser ce nouveau casque, mais des précommandes sur Amazon vont être ouvertes ces tout prochains jours. Avec ce casque et les apps compatibles, les marmots peuvent visiter toutes sortes de lieux connus à travers le monde, sous l'eau et dans l'espace.

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Brevet : l'Apple Watch ajuste le volume de l'iPhone d'après l'environnement sonore

Mickaël Bazoge |

En utilisant son microphone, l’Apple Watch serait en mesure d’ajuster automatiquement le volume de l’iPhone compagnon selon l’environnement sonore de l’utilisateur. C’est, du moins, le sens d’un brevet déposé par Apple en mars 2014 et dévoilé par AppleInsider. Cette modulation est décrite comme passive (l’Apple Watch mesure le son ambiant en permanence) ou active (l’utilisateur active lui même la fonction).

Cette fonction a tout son sens dans des environnements très bruyants, mais aussi très calmes : il n’est pas utile qu’une alerte sonore (la réception d’un SMS,  …) soit très élevée dans une salle d’attente, par exemple. L’Apple Watch, de par sa position sur le corps de son porteur, se montrerait effectivement plus efficace dans ce rôle de régulateur du volume sonore qu’un iPhone coincé au fond d’une poche.

Un aller-retour de signaux entre le smartphone et la montre peuvent aussi servir à déterminer si l’iPhone est dans un sac, une poche ou loin de son propriétaire. Selon le volume sonore ambiant et l’emplacement du téléphone, l’Apple Watch peut faire sonner l’iPhone plus ou moins fort. Enfin, cette fonction de mesure de l’environnement sonore peut aussi servir à réduire ou augmenter la distance nécessaire pour activer Siri au poignet (plus il y a de bruit ambiant, plus il faut se rapprocher de la montre).

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Samsung offrirait un Gear VR pour toute précommande d'un Galaxy S7

Mickaël Bazoge |

Le Galaxy S7 pourrait bien être fourni avec un joli cadeau. Samsung aurait, à en croire le site Android World, la volonté d’offrir un Gear VR à tous ceux qui passeront précommande de son futur fer de lance. Cela permet, mine de rien, d’économiser une centaine d’euros tout en profitant de ce qui ressemble, en l’état actuel du marché, de la meilleure solution de réalité virtuelle possible (lire notre test).

Les précommandes du Galaxy S7 et de son grand frère le S7 Edge débuteraient dès le jour de leur présentation, c’est à dire le 21 février. Et jusqu’au 10 mars, date de la clôture des réservations, le constructeur glissera son petit cadeau. Le Galaxy S7 devrait être disponible le lendemain, soit le 11 mars.

Le site donne aussi une idée des prix des appareils : comptez 699 € pour le Galaxy S7 (32 Go), et 799 € pour le S7 Edge.

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