Amazon baisse les prix sur deux variantes d'Apple Watch Ultra de la première génération. Le modèle muni du bracelet Boucle Alpine Orange (taille S) est affiché ce matin à 720 € tandis que son cousin avec ce même type de bracelet en Vert (M) est à 719 €. Habituellement les Ultra 1 sont proposées entre 749 € et 789 € (les Ultra 2 valant 899 €).
Les autres Apple Watch sont également en promo, mais c'est à peu près toujours le cas. Une Series 9 de 45 mm avec bracelet Boucle Sport est par exemple à 429 € (-50 €) ou 399 € (-50 €) en 41 mm. Quant aux Apple Watch SE c'est 249 € (-30 €) en 40 mm et 279 € (-30 €) en 44 mm.
Mark Gurman croit lui aussi savoir qu’Apple aurait mis un terme à son projet de créer en interne un écran microLED destiné à l’Apple Watch. Il précise que la décision aurait été prise au cours des dernières semaines et qu’elle se traduirait par la fermeture de toute l’initiative, la reconversion d’une partie des employés qui travaillaient sur le projet et le licenciement d’une autre partie. Une méthode qui rappelle fortement la fin du projet Titan et qui pourrait confirmer que l’heure n’est plus à la fête à Cupertino.
Ceci n’est pas une Apple Watch microLED. Image watchGeneration.
Si ce bruit de couloir vous semble familier, c’est sans doute parce que le journaliste de Bloomberg n’est pas le premier à le suggérer. Sa rumeur fait suite à celle de Ming-Chi Kuo lancée au début du mois, puis Ross Young il y a une dizaine de jours. Avec maintenant Mark Gurman qui ajoute sa voix, autant dire que l’on peut désormais presque se passer du conditionnel : le projet microLED semble bel et bien au point mort chez Apple.
L’article du jour précise que plusieurs dizaines d’employés seraient licenciés suite à cette décision. Cela concernerait notamment tous ceux qui avaient été embauchés dans des locaux de Santa Clara, en Californie, où Apple aurait travaillé sur des chaînes de production pour ses dalles microLED. Des employés en Asie, qui travaillaient sur la production de masse selon Mark Gurman, devraient aussi perdre leur emploi. Une partie des ingénieurs devraient pouvoir basculer dans une autre équipe au sein d’Apple.
Les détails qui expliquent la fin du projet sont toujours les mêmes. Si le microLED ressemble à la technologie parfaite sur le papier, bien supérieure à l’OLED utilisé dans les Apple Watch actuelles, c’est aussi une technologie coûteuse et difficile à produire en quantités suffisantes et à un tarif raisonnable. Apple aurait sous-estimé la difficulté et pensait courant 2018 pouvoir produire des dalles microLED dès 2020, avant de reculer régulièrement l’objectif. Au point que la décision aurait été prise d’arrêter les frais et de se concentrer sur l’OLED pour le moment.
D’après Mark Gurman, Apple garderait malgré tout un œil sur le microLED, avec l’espoir de pouvoir l’utiliser à terme. L’entreprise laisserait toutefois à d’autres acteurs le soin de développer la technologie et surtout réduire ses coûts de production.
L'Apple Watch aurait pu fonctionner avec les smartphones Android, Apple a longuement travaillé sur le sujet avant de stopper cet effort.
La plainte contre Apple du département de la Justice des États-Unis (DOJ) utilise l'intégration de l'Apple Watch avec l'iPhone et les difficultés faites aux fabricants tiers parmi les exemples de comportements d'Apple jugés monopolistiques. L'un des multiples passages de la plainte à propos de l'Apple Watch dit :
La montre connectée d'Apple, l'Apple Watch, n'est compatible qu'avec l'iPhone. Dès lors, si Apple peut inciter un utilisateur à acheter une Apple Watch, il devient plus coûteux pour cet utilisateur d'acheter un autre type de smartphone, car cela oblige l'utilisateur à abandonner sa coûteuse Apple Watch pour acheter une nouvelle montre connectée compatible Android.
Apple a répondu indirectement au DOJ en transmettant à certains sites l'information selon laquelle, trois années durant, elle a réfléchi à développer une compatibilité de l'Apple Watch avec Android. Avant de renoncer en estimant que ce ne serait pas faisable techniquement du fait de limitations techniques. Quels sont ces grands obstacles précisément ? Mystère.
En novembre dernier, Mark Gurman révélait qu'Apple avait travaillé à porter sur Android les composants nécessaires à une compatibilité de l'Apple Watch — le projet "Fennel" (ou "Fenouil") et à y avoir également l'app Santé.
Ce développement était quasiment achevé, d'après Bloomberg lorsqu'il a été mis au placard. Plutôt que des arguments techniques, c'est la notion d'écosystème qui aurait prévalu. Ce que laisse aussi entendre le DOJ :
Dans un e-mail de 2019, le vice-président du marketing produit pour Apple Watch a reconnu que l'Apple Watch « pourrait aider à empêcher les clients d'iPhone de changer ». Des enquêtes aboutissent à des conclusions similaires : de nombreux utilisateurs affirment que les autres appareils connectés à leur iPhone sont la raison pour laquelle ils ne passent pas à Android […] Apple reconnait aussi que rendre l'Apple Watch compatible avec Android supprimerait un élément différenciateur de l'iPhone.
C'est le même raisonnement qui a fait qu'Apple n'a jamais décliné iMessage sur Android, alors qu'au moins un VP d'Apple, Eddy Cue, le patron des services, y était plutôt favorable. À l'inverse de Craig Federighi et de Tim Cook, opposés à l'idée, car inquiets des conséquences possibles sur les ventes d'iPhone.
D'autres points de la plainte citent des exemples où les montres concurrentes ne peuvent profiter de la même fluidité d'interaction qui existe entre l'Apple Watch et l'iPhone.
La première excursion du Vision Pro en dehors des États-Unis semble approcher. MacRumors a remarqué des offres d’emploi en Australie, en Chine et au Japon pour le poste de « Spécialiste de l'expérience de briefing » pour le premier casque d’Apple. Le job consiste à créer des démonstrations présentant les capacités du Vision Pro à des clients professionnels ou à des entreprises.
L’offre indique que l’objectif est également de « présenter des solutions, des cas d'utilisation représentatifs et des méthodes de travail inspirant l'investissement des clients dans la technologie, la plateforme visionOS et le produit lui-même ». Si ces offres d’emploi sont des indices, cela ne signifie pas que le Vision Pro sortira en Australie ou au Japon dans les jours qui viennent : de telles offres ont été postées au Royaume-Uni l’année dernière, et le casque n’y est pas disponible pour autant.
Apple a annoncé que son premier « ordinateur spatial » serait vendu en dehors des États-Unis dans le courant de l’année, sans pour autant préciser dans quel pays. Mark Gurman voit venir dans un premier temps le Royaume-Uni, la Chine et le Canada. Récemment, plusieurs nouvelles dispositions des touches ont été ajoutées au clavier virtuel du casque : elles concernent l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada, le Japon, la Corée du Sud, la Chine, Singapour et… la France.
Reste à voir dans quel ordre le déploiement sera fait, et quand aura lieu le premier lancement à l’international. Le généralement bien informé Ming-Chi Kuo s’attend à ce que le Vision Pro fasse ses débuts à l’étranger avant la prochaine WWDC, qui aura lieu au moins de juin.
RGB EVERYWHERE. Claviers, souris, boitiers de PC, ventilateurs, alimentations, lampes, ampoules, manettes, ordinateurs portables… Razer met des diodes colorées partout. Même dans vos oreilles, ou plutôt, dans les écouteurs qui vont dans vos oreilles. C’est l’argument le plus visible des Hammerhead Pro Hyperspeed, mais pas le seul, puisque leur dongle 2,4 GHz est censé leur garantir une connexion sans latence ou presque. La solution idéale pour jouer avec style et précision ? La réponse dans notre test des écouteurs Razer Hammerhead Pro Hyperspeed.
Image WatchGeneration.
Avec leur forme de sucette à la tige allongée, les Hammerhead Pro HyperSpeed rappellent les anciens AirPods plutôt que les nouveaux AirPods Pro, mais des AirPods qui auraient la tête écrasée d’un bouledogue. Les écouteurs de Razer ne sont pas intra-auriculaires, c’est-à-dire qu’ils ne bouchent pas le canal auditif, mais sont maintenus dans le creux de l’oreille par des olives en silicone, fournies dans trois tailles.
Avec sa forme renflée, la tête des écouteurs remplit bien la conche de l’oreille, tandis que la tige se cale entre le tragus et l’antitragus pour assurer un parfait équilibre des 5,9 grammes… sur les grandes esgourdes. Ces écouteurs n’ont clairement pas été pensés pour les petites oreilles (ils
mesurent 4,1 × 2,6 × 2,1 cm) ornées de boucles (la tige peut gêner). Le boitier de charge est tout aussi imposant, 6,4 × 5,3 × 2,4 cm pour 47 g, mais il faut souvent s’y reprendre à plusieurs fois avant d’en tirer les écouteurs.
Le plastique brillant glisse des doigts, et parfois des oreilles, mais sa couleur noire est incontestablement moins salissante que la couleur rapidement jaunâtre des AirPods. Razer propose cependant une version blanche avec des accents noirs accordée au casque Meta Quest, une version blanche avec des accents bleus coordonnée à la PlayStation 5 et une version noire avec des accents verts spécifiquement conçue pour les consoles Xbox. Les quatre déclinaisons incorporent des diodes RGB programmables.
Les écouteurs dans leur boitier. Image WatchGeneration.
Il n’y a pas que Meta qui se démène pour éviter que le Vision Pro ne lui vole la vedette dans le secteur de la réalité virtuelle. HTC Vive vient d’annoncer un partage de revenus plus favorable aux développeurs proposant des applications et des jeux sur sa boutique Viveport. Le spécialiste de la VR/XR espère ainsi attirer plus de développeurs… ou tout du moins éviter une fuite vers l’App Store de visionOS.
Vive XR Elite. Image HTC Vive.
Au lieu de prendre une commission de 30 % sur les achats d’apps et les achats intégrés, HTC Vive va prendre seulement 10 %. Ce changement sera appliqué à partir du 1er avril pour tous les nouveaux titres et il est rétroactif à partir du 1er mars pour les titres existants. « En mettant plus de ressources directement entre les mains des créateurs, nous nous assurons que VIVEPORT est moteur de la croissance de la communauté XR », déclare Joseph Lin, directeur général de Viveport.
De son côté, Apple prélève 15 à 30 % sur chaque achat selon les développeurs. Meta est le plus gourmand avec une commission pouvant aller jusqu’à 47,5 % dans son écosystème VR.
Dans le cadre des offres de printemps qui débutent aujourd'hui chez Amazon, les prix des casques Bose et Sony retrouvent le niveau de la période des soldes du début d'année, voire baissent un peu plus.
Ainsi, le Sony WH-1000XM4 qui était descendu à 259 € en janvier est aujourd'hui à 249 € au lieu de 280 à 330 € habituellement. La version supérieure, le WH-1000XM5, coûte 350 € (il oscille entre 320 € parfois et 400 € régulièrement).
Sony WH-1000XM4.
Chez Bose, le dernier modèle en date, le QuietComfort Ultra est à 419,95 €, bien plus intéressant que les 449 € proposés très occasionnellement ou 499 € le plus souvent. Le casque en dessous, le QuietComfort est resté à son niveau de promo habituel de 299 €.
Pour les AirPods, pas de coup de rabot supplémentaire, les AirPods 2 sont à 109 € (-30 €), les AirPods 3 MagSafe à 180 € (-29 €) et les AirPods Pro 2 à 245 € (-34 €).
