L’app ECG en Europe et ailleurs avec watchOS 5.2 ?

Mickaël Bazoge |

Bénéficier de l’application ECG en dehors des États-Unis ? Ce sera — peut-être — une réalité avec watchOS 5.2. Guilherme Rambo a fouillé dans la documentation fournie avec iOS 12.2, pour y dénicher la bonne nouvelle. On peut y lire que l’application permettant de réaliser un électrocardiogramme avec l’Apple Watch Series 4 sera disponible avec la prochaine version de watchOS (pas encore en ligne à l’heure actuelle) pour les régions « non US ».

Démonstration en vidéo et en français de l’app ECG.

Davantage de pays pourraient donc profiter de l’app ECG très rapidement désormais. Reste à savoir lesquels : l’Europe, le Canada, ailleurs ? On trouve le logo CE dans cette documentation, ce qui signifie que l’Union européenne pourrait être de la fête. La fonction d’électrocardiogramme est soumise au feu vert des régulateurs de santé, comme c’est le cas aux États-Unis.

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Des images des futurs Powerbeats Pro sans fils dans iOS 12.2

Florian Innocente |

Les successeurs aux écouteurs Powerbeats3, débarrassés de leurs fils, se dévoilent dans une animation présente dans iOS 12.2. CNet avait parlé de l'arrivée le mois prochain de cette nouvelle version de ces écouteurs pour sportifs, équipés de la même électronique que les AirPods 2 (lire Beats : les futurs Powerbeats équipés de la puce H1 seraient vraiment sans fil).

L'animation dénichée par 9to5mac montre qu'ils reprennent le principe d'un tour d'oreille pour les tenir en place et se nomment Powerbeats Pro.

Les deux écouteurs se posent dans un petit boitier de recharge — sa compatibilité Qi n'est pas très claire — comme en ont les AirPods, mais ils s'y rangent à plat. La face avant du boitier est munie d'une LED indiquant la charge, au dos on a la prise Lightning et à l'intérieur le bouton de jumelage. Le produit sera disponible au départ en noir et en blanc.

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My Skin Track UV : un capteur/bijou pour éviter les coups de soleil

Mickaël Bazoge |

Le soleil est bien pratique pour tout un tas de raisons, mais gare aux effets de ses rayons sur la peau. La Roche-Posay, la filiale « soins de la peau » du géant L’Oréal, va mettre sur le marché un petit capteur UV que l’on peut porter en bijou ou en accessoire accroché à un vêtement. My Skin Track UV, qui mesure 12 mm de large pour 6 mm de haut, mesure les niveaux individuels d’ultraviolets ainsi que l’exposition à la pollution, aux pollens et à l’humidité.

Le design a été conçu par Yves Behar, fameux designer suisse à qui l’on doit les formes de l’ordinateur portable OLPC, de la console Ouya, du premier bracelet Jawbone ou encore du téléviseur The Frame de Samsung. My Skin Track UV utilise (assez pertinemment) le soleil pour recharger sa batterie, pas besoin de le brancher à quoi que ce soit. L’appareil conserve les données enregistrées pendant trois mois et il résiste à l’eau.

Les informations recueillies par le capteur sont ensuite exploitées par l’application compagnon, comme de bien entendu (My Skin Track UV est aussi compatible avec HealthKit). Elle conserve les données au chaud, et surtout elle offre des conseils et des recommandations en fonction des données pour conserver une peau saine. Bien sûr, on y trouvera aussi des suggestions de produits à acheter provenant de La Roche-Posay. My Skin Track UV est vendu à partir d’aujourd’hui dans plusieurs Apple Store aux États-Unis, ainsi qu’en ligne au prix de 60 $. Le petit bidule sera disponible en Europe en juin.

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Batfree, la Smart Battery Case de l'Apple Watch

Stéphane Moussie |

Batfree, ce n’est pas un gadget de la panoplie de Batman, c’est une nouvelle tentative de bracelet capable de recharger l’Apple Watch (Series 2/3/4).

Vu l’épaisseur qu’il ajoute à la montre, le Batfree peut être comparé à la Smart Battery Case de l’iPhone. Car l’accessoire ne vient pas se fixer sur l’Apple Watch comme un bracelet classique, il l’englobe presque totalement. C’est la contrepartie pour qu’il puisse charger la montre par induction.

Le Reserve Strap était une solution plus séduisante sur le papier car plus proche d’un bracelet classique, seulement l’accessoire n’a jamais pu voir le jour car il ne pouvait pas exploiter le port diagnostic de la montre.

Le Batfree, qui est fait de silicone et pèse 100 g à lui seul, est censé fournir 27 heures d’autonomie supplémentaires.

En dépit de sa conception très spéciale, le fabricant Togvu assure que son accessoire ne retire aucune fonctionnalité à l’Apple Watch, ce dont on doute très fortement. Le dos de la montre n’est apparemment pas en contact avec la peau et le trou semble trop petit sous les capteurs, ce qui signifie que le suivi cardiaque ne peut pas fonctionner correctement.

Le produit est actuellement au stade de projet Kickstarter (les 8 850 € nécessaires à sa concrétisation ont déjà été dépassés). Si l’aspect mastoc ne vous rebute pas, il coûte à partir de 45 $ pour une livraison en mai 2019.

Compte tenu des doutes sur le Batfree et de l’historique funeste des bracelets chargeurs pour Apple Watch, on vous conseille d’attendre les tests avant de dépenser votre argent (nous avons demandé un exemplaire au fabricant).

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Test de l’Inspire HR de Fitbit

Mickaël Bazoge |

Les bracelets traqueurs d’activité ont-ils encore un avenir ? La question se pose avec d’autant plus d’acuité que les montres connectées sont de plus en plus abordables, tout en offrant une grande polyvalence et davantage de fonctions. Fitbit ne s’avoue pas vaincu pour autant.

L’Inspire et l’Inspire HR sont les nouveaux bracelets Fitbit pour ceux qui ne veulent pas d’une montre connectée. Le constructeur, anciennement numéro 1 du marché avant d’être blackboulé dans les profondeurs du classement, n’a plus grand-chose à prouver sur ce segment.

Ses nouveaux modèles revêtent malgré tout une grande importance, puisqu’ils remplacent les populaires bracelets Alta et Alta HR. Fitbit a fait le grand ménage dans son catalogue en supprimant des rayons ses traqueurs One, Zip et Flex. En dehors des Inspire, il reste le Charge 3 plus encombrant, le reste de la gamme s’articulant autour des montres connectées (Ionic et surtout Versa).

Avec son cardiofréquencemètre, l’Inspire HR est 30 € plus cher que l’Inspire tout court. Cela positionne le bracelet haut de gamme à 100 €, un prix somme toute élevé quand on le compare avec des produits comme le Mi Band 3 de Xiaomi à 30 €… Fitbit a néanmois quelques arguments à faire valoir.

Qu’inspire l’Inspire ?

Pour dire la vérité, quand on a vu un bracelet traqueur d’activité, on les a un peu tous vus. L’Inspire HR n’a rien qui lui permette de sortir vraiment du lot1, le module en lui-même est un bloc de plastique noir équipé d’un écran OLED qu’on devine tout petit entouré de larges bordures.

Si l’écran est tactile, l’utilisation du traqueur passe aussi par un bouton présent sur la tranche. À l’arrière prend place le moniteur de fréquence cardiaque optique avec sa lumière verte, ainsi que les contacts pour la recharge de la batterie. Le bracelet peut être remplacé (Fitbit en propose un grand choix à partir de 30 €), les deux morceaux se détachent au moyen d’une pompe.

Une fois au poignet, l’Inspire se fait assez vite oublier dans la vie de tous les jours. J’émets un petit bémol sur l’épaisseur du traqueur, similaire à celle d’une Apple Watch. La nuit, le bracelet a tendance à « accrocher » la literie. Au quotidien, l’utilisation est simple, l’Inspire HR gérant son petit bazar tout seul.

En matière de personnalisation du cadran, le choix est évidemment plus limité que sur l’Apple Watch, et puis l’écran est uniquement noir et blanc. L’application Fitbit offre toutefois plusieurs cadrans, certains affichant plus d’informations que d’autres. Dommage que l’on ne puisse pas en stocker deux ou trois sur le bracelet en lui-même (il faut en passer absolument par l’app).

On retrouve les fonctions classiques de ce genre de produit : nombre de pas, minutes actives, calories brûlées, notifications sur l’écran (vu sa taille, ce n’est pas nécessairement pratique), objectifs horaires (250 pas) et journaliers, ainsi que la reconnaissance automatique d’activités sportives (course, marche, vélo, natation).

Ajoutons à cela une étanchéité jusqu’à 50 mètres pour la douche ou la piscine. Attention cependant, le traqueur ne comptera pas les longueurs. L’Inspire HR n’intègre pas de GPS, il peut cependant utiliser celui de l’iPhone qu’il faudra donc emporter avec soi pour obtenir le tracé de ses courses. L’altimètre est l’autre absent de marque : le bracelet ne saura pas compter les étages montés.

Le tableau de bord de l’application Fitbit et le panneau de réglages de l’Inspire HR.

L’utilisateur pourrait presque se contenter de porter le bracelet sans s’en occuper. Ce d’autant que l’autonomie annoncée, 5 jours, est au rendez-vous. Et même un peu plus si le volume de notifications et l’activité sportive sont au plus bas.

Inspirez, expirez

La principale différence entre l’Inspire et le modèle HR, c’est évidemment la présence du cardiofréquencemètre dans ce dernier. Le capteur relève la fréquence cardiaque toutes les cinq secondes en temps normal, et chaque seconde pendant le suivi d’un exercice. Il est aussi possible de consulter en temps réel le rythme de son palpitant.

Le bracelet exploite ces mesures cardiaques à plusieurs occasions. Cela lui permet d’être plus précis dans les relevés des activités sportives et du sommeil, et aussi pour déterminer la forme cardio de l’utilisateur.

Va falloir reprendre sérieusement l’entraînement…

Le cardiofréquencemètre permet à l’application compagnon de mesurer les zones de fréquence cardiaque durant les exercices : l’effort accompli durant une activité sportive a-t-il permis d’éliminer des graisses ? Cette information peut servir à déterminer si on a suffisamment poussé sur le champignon, en fonction de ses objectifs.

Le bracelet est censé mesurer automatiquement un exercice sportif. C’est surtout le cas en extérieur. Sur un tapis roulant ou sur un vélo d’appartement, mon Inspire HR est resté désespérément muet. Dans votre salle de sport préférée, mieux vaut donc ne pas oublier de lancer manuellement l’activité depuis le bracelet.

De base, le traqueur permet de lancer une session de running, vélo, natation, tapis de course, musculation et d’exercices à intervalles (30 secondes d’effort, 10 secondes de repos). Des options de personnalisation sont disponibles dans l’application Fitbit (pour le minuteur à intervalles, par exemple), ainsi que la possibilité d’ajouter ou de supprimer certaines activités.

Au petit jeu de la comparaison, difficile de dire si c’est l’Inspire HR ou l’Apple Watch qui voit le plus juste. La moyenne du rythme cardiaque est similaire, mais pour le reste on n’obtient pas les mêmes résultats de calories en activité, en rythme moyen, ni même en distance parcourue…

J’aurais plutôt tendance à croire l’Apple Watch qui donne un résultat proche de celui qui était affiché par le tapis roulant.

Avec une telle autonomie, rien de plus facile que de garder le bracelet au poignet la nuit. Ça tombe bien, comme la plupart des traqueurs de Fitbit, l’Inspire HR peut être d’une aide secourable pour en savoir un peu plus de la qualité de son sommeil. Il n’y a rien de spécial à faire ici, seulement porter le bracelet en dormant.

Fitbit a toujours réalisé un bon travail de présentation pour les relevés de sommeil, et l’Inspire HR ne fait pas exception. Le moniteur cardiaque permet de quantifier les différentes phases de sommeil (léger, profond, paradoxal) présentées sous la forme de petits graphiques très clairs.

L’application donne aussi des explications sur les différents indicateurs de sommeil, une pédagogie intéressante que l’on ne retrouve pas forcément ailleurs dans d’autres applications de suivi des nuits. Pour mener une vie saine, il convient de se coucher pas trop tard et de dormir longtemps, mais malheureusement ce n’est pas ce bracelet (ni aucun autre) qui va nous pousser à améliorer le sommeil si on ne le veut pas !

Pour conclure

Avec son capteur de fréquence cardiaque, sa discrétion et une autonomie longue durée, l’Inspire HR a de quoi satisfaire ceux qui ne veulent pas s’encombrer d’une montre connectée pour mesurer leur activité physique au quotidien.

La partie logicielle, qui s’appuie sur les années d’expertise de Fitbit, est bien faite. Mais on regrette que le constructeur continue d’ignorer HealthKit : les données recueillies par le bracelet ne seront pas consultables dans l’app Santé d’Apple.

L’Inspire HR ne comprend ni GPS (un atout pour l’autonomie) ni altimètre. L’affichage des notifications ne sert pas à grand-chose sur un si petit écran. Heureusement, il est possible de le désactiver.

Ce nouveau bracelet à 100 € n’est pas un mauvais bougre, il fait son boulot discrètement sans mobiliser constamment l’attention de l’utilisateur. Malgré tout, il manque un peu… d’inspiration. Oui, il fallait que je la fasse.


  1. À moins de jeter son dévolu sur le modèle mauve bien sûr, mais qui le voudrait ? ↩︎

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Jony Ive : les critiques sur les premiers AirPods étaient faciles

Florian Innocente |

Alors que la nouvelle génération d'AirPods est en vente, Jonathan Ive est revenu, dans une courte interview donnée à GQ, sur l'accueil qui leur fut réservé au début et sur des aspects a priori anodins de leur design.

GQ dresse le constat d'un succès indéniable de ces écouteurs. Pas besoin de chiffres d'analystes, il suffit de regarder autour de soi pour s'en convaincre, on en croise toujours davantage. Le fait que leur design ait été plagié pour des modèles à bas coût confirme que leur aspect, souvent moqué à leur lancement, n'est plus un obstacle.

C'est ce qu'explique Ive, à propos de l'accueil qui fut réservé en 2016 aux premiers AirPods, ces bâtonnets blancs sans fil qui pendent des oreilles.

Pour résumer, il y a ceux qui en parlent pour ce qu'ils sont, et ceux qui en parlent pour ce qu'ils font. La critique est facile, l'art est difficile, explique le designer :

Je pense que ça a été quelque chose d'assez courant dans la réaction initiale à l'égard des AirPods. Il s’agit d’une réaction basée sur une compréhension académique vis-a-vis d'eux, plutôt que sur une compréhension pratique, quotidienne.

On a tendance à se focaliser sur les choses dont il est facile de parler, et le fait qu'on en parle ne signifie pas pour autant que ce sont des éléments importants. Ça veut juste dire qu'il est aisé de parler de ces points là.

Son propos illustre les débats que l'on voit chaque fois que l'on évoque les AirPods. Il y a le camp de ceux qui parlent prix, qualité sonore ou même design et ceux qui s'attardent sur leur utilisation quotidienne (lire aussi Counterpoint : on aime les AirPods pour ce qu'ils sont, on aime les Bose pour le son).

Jonathan Ive évoque ensuite des détails de design du boitier de recharge. Le journaliste de GQ évoque une manie que l'on développe rapidement avec les AirPods. Celle d'ouvrir et refermer le capuchon de leur boitier, souvent de manière machinale et distraite, sans autre raison que de vouloir entendre le "clac" caractéristique que provoque le geste (si le bruit n'est pas le même, la gestuelle rappelle celle des briquets Zippo, ndlr).

Beaucoup de temps fut consacré à ce détail, dit Ive, et à d'autres, invisibles tant qu'on n'est pas devenu utilisateur du produit :

Lorsque vous avez des objets qui sont intrinsèquement très mécaniques, il est important à mon sens de porter une attention particulière à tous les aspects de la conception : couleur et forme, ainsi que l'architecture générale, mais aussi ces comportements plus difficiles à définir et à concevoir, comme le bruit d'un clic et la force nécessaire d'un aimant pour attirer quelque chose et le refermer.

Ive cite un autre exemple lié au rangement des écouteurs dans leur boitier :

Parmi ces choses où l'on a eu beaucoup de mal, il y a la façon dont le boitier va orienter les AirPods au moment où vous les glissez à l'intérieur (lorsque vous insérez un écouteur, il arrive un instant où l'aimant à la base du boitier va le tirer vers le bas et le berceau au sommet du boitier force la tête de l'écouteur à s'orienter dans le bon sens, pour qu'il se cale dans son logement, ndlr). J'adore ce genre de détails, et vous ne pouvez pas imaginer le nombre de fois où l'on s'est plantés pendant la conception.

Une fois que vous y êtes arrivés, je pense que ça ne vous demande pas énormément d'efforts mais ça participe, beaucoup plus que les gens n'en ont conscience, au plaisir d'utiliser un produit.

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Elago : c’est dans les vieux pots qu’on fait les docks Apple Watch les plus sympathiques

Mickaël Bazoge |

Malgré une autonomie qui tape assez facilement dans les 24 heures, il arrive fatalement un moment où il faut recharger l’Apple Watch. Dans ce cas, pourquoi se contenter de bêtement poser la montre sur son petit galet ?

Elago s’est fait une spécialité de ces socles fantaisie qui donnent un peu de pep’s sur le bureau. Le W3 Stand par exemple est une reproduction du Mac originel (lire : W3 Stand : un Mac idéal pour l’Apple Watch).

La petite famille de socles Elago.

Surfant sur le succès de ce modèle, le fabricant a décliné le concept avec le W4 et W5, qui reproduisent respectivement l’iMac « bonbon » et la le Game Boy. Dans tous les cas, le principe est le même. Il s’agit d’un bloc de silicone plutôt épais et résistant aux chocs (bien que ce genre de produit ait vocation à rester tranquillement posé dans un coin).

Le W4 Stand.

On peut se contenter de glisser l’Apple Watch dans l’emplacement prévu à cet effet, mais nous avons noté que la montre tenait mieux en place si le chargeur était présent dans le socle. Installer le galet n’a rien de compliqué, il faut simplement penser à insérer d’abord le connecteur USB puis à faire coulisser le câble avant d’installer le chargeur en lui-même.

Si tous les modèles de socles sont bien mignons, la version Game Boy attire tout spécialement l’œil. En l’absence de licence officielle (c’est le cas aussi des petits Mac), la reproduction est aussi fidèle que possible, on retrouve même la trappe des piles et la cartouche. Hélas, il ne s’agit pas d’une « vraie » console, les boutons ne cliquent pas ! Mais on ne saurait en tenir rigueur à Elago…

Les socles accueillent toutes les générations d’Apple Watch, quelles que soient leurs tailles de boîtier (du 38 au 44 mm). Seule exception, le W3 « Mac 128 » pour lequel il est précisé que l’Apple Watch 44 mm n’est pas compatible. Dans les faits, la montre se glisse dans le dock sans contraintes. Avec le plus grand modèle de montre, il se peut que vous deviez utiliser deux mains pour sortir l’Apple Watch du dock (une pour tenir le socle, l’autre pour soulever la montre).

Difficile de faire plus charmant que ces produits qui trouveront une place aussi bien sur la table de chevet que sur le bureau. On peut trouver le W3 « Mac 128 » à 10,99 €, le W4 « iMac » au prix de 13,99 € et le W5 « Game Boy » à 15,99 €

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