Amazon en France ainsi qu'en Allemagne ont de bons prix actuellement sur les AirPods Max. Chez nous le modèle vert spécifiquement est descendu à 487 € (629 € chez Apple, pour mémoire et 550 € ailleurs).
Mais Amazon en Allemagne fait toujours mieux sur ce produit avec 445 € sur les coloris noir, vert et rouge (tous en stock) et à peine plus sur les autres : 449 € sur l'argent (en stock le 17 novembre) et 452 € sur le bleu.
Il y a eu mieux par le passé Outre-Rhin, mais de peu, comme ce 436 € à un moment. Depuis l'Allemagne l'envoi est gratuit avec un compte Prime, sinon il faut compter environ 6 €.
Disponible depuis la fin du mois de septembre, le Charge 5 ajoute plusieurs cordes à son arc via une mise à jour logicielle : il permet désormais de réaliser un électrocardiogramme ECG, une première pour un bracelet Fitbit. Les capteurs étaient déjà présents dans l'appareil bien sûr, mais pas le logiciel qui va bien. Il faudra maintenir deux doigts sur le rebord du bracelet pendant 30 secondes, sans bouger, pour enregistrer les informations nécessaires à l'ECG.
Comme sur l'Apple Watch depuis la Series 4, cette fonction permet d'évaluer le rythme cardiaque pour y détecter une éventuelle fibrillation auriculaire. Cette mise à jour propose un outil de suivi de la glycémie dans l'application Fitbit… mais les données ne proviennent pas directement du bracelet, l'utilisateur devra les saisir à la main ou synchroniser les mesures relevées par un capteur tiers. Les méthodes non-invasives ne sont pas encore tout à fait prêtes pour une intégration dans les bracelets et montres connectées.
Enfin, cette mise à jour contient le score d'aptitude quotidienne, un service attaché à l'abonnement premium de Fitbit qui compile l'ensemble des données recueillies par le bracelet et ainsi proposer des recommandations d'activité.
Niantic veut être celui qui vend les pelles et les pioches durant la ruée vers l'or, mais adaptée à l'ère du métavers. Le créateur de Pokémon GO a livré aux développeurs un nouveau SDK, Lightship, qui reprend le travail entamé dès 2018 avec la Real World Platform. Il s'agit ni plus ni moins que de faire profiter ceux qui le souhaitent des technologies à l'œuvre dans Pokémon GO donc, mais aussi le tout récent Pikmin Bloom (et les prochainement défunts Harry Potter: Wizards Unite et Les Colons de Catane, on ne gagne pas à tous les coups).
Tous ces outils sont rangés dans trois catégories : le mapping en temps réel, la compréhension de l'environnement direct du joueur, et le partage (les fonctions multijoueur). Toutes choses dans lesquelles Niantic est passé maître et que le studio propose gratuitement pour la plupart d'entre elles, à l'exception des fonctions multijoueur au-delà de 50 000 participants.
Niantic raccroche les wagons avec le métavers, qui après tout va se baser sur les réalités virtuelle et augmentée. L'entreprise se réjouit, non sans raison d'ailleurs, de voir que Pokémon GO ait donné un avant goût de ce nouveau concept aux contours toujours très flous. Depuis l'an dernier, Niantic travaille d'ailleurs avec Qualcomm sur les lunettes AR de prochaine génération, ce qui devrait accélérer le développement des métavers.
Histoire de mettre le pied à l'étrier de ce secteur qui part dans tous les sens (Apple aussi est intéressée), Niantic a aussi mis en place un fonds doté de 20 millions de dollars pour financer les projets AR utilisant Lightship.
Le capteur de fréquence cardiaque de l'Apple Watch est presque aussi précis que la ceinture pectorale H10 de Polar, considérée comme l'appareil grand public le plus rigoureux en la matière. C'est la conclusion de Rob ter Horst, animateur de la chaîne YouTube The Quantified Scientist, qui se fait fort de tester la précision du suivi de l'activité physique et sportive des bracelets et montres connectés de manière scientifique.
Il a ainsi relevé les mesures de la fréquence cardiaque d'une Apple Watch Series 7 après plusieurs sessions de vélo de spinning. Les résultats sont assez convaincants, les différents points relevés par la montre étant très proches de ceux de la ceinture :
Le cardiofréquencemètre de la montre s'en sort plutôt mieux que ceux de la concurrence, comme on le voit ci-dessous :
La Series 7 est également à l'aise avec des courses à vélo en extérieur, même s'il y a davantage de différences par rapport à la Polar. Néanmoins, aucun autre appareil connecté au poignet ou à l'avant-bras n'a fait mieux, rapporte Rob.
Que ce soit pour du skateboard ou de la levée de fonte, la précision du capteur de fréquence cardiaque de la montre d'Apple retourne des résultats vraiment très proches de ceux relevés par la H10. « Aucune autre montre connectée n'est aussi précise que l'Apple Watch », martèle le spécialiste.
Il ne s'est d'ailleurs pas arrêté en si bon chemin, en testant aussi la précision de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de la Series 7, qui mesure en millisecondes la variation du temps entre les battements de cœur. Pour ce faire, Rob a utilisé l'app Pleine conscience et a comparé les relevés avec là aussi une H10 de Polar.
Il arrive à l'Apple Watch de « rater » des battements du cœur, ce qui explique les variations importantes que l'on voit dans le graphique ci-dessus. Mais globalement, le résultat est dans les clous de celui de la ceinture pectorale.
La mesure de la SPo2 (le taux d'oxygène dans le sang), qui est possible depuis la Series 6, a aussi droit à son comparatif face à un oxymètre à utiliser avec le doigt. L'Apple Watch retourne des mesures qui sont à peu près dans la même fourchette que l'accessoire spécialisé, même si la montre a tendance à afficher des résultats moins élevés.
Rob a également testé la précision de la mesure du sommeil et du GPS, et dans les deux cas l'Apple Watch s'est montrée très capable (bien que les relevés de sommeil soient très basiques). En bout de course, la Series 7 se révèle une montre polyvalente et particulièrement bien adaptée pour le suivi de la fréquence cardiaque. La vidéo au complet mérite le coup d'œil :
Depuis le 3 novembre, Apple a étendu la couverture géographique de son service Fitness+ à de nombreux pays, mais le catalogue de cours créé depuis un an n'est pas arrivé au complet.
Fitness+ existe depuis un an dans les pays anglophones, Apple y ajoute de nouveaux cours toutes les semaines et elle s'est maintenant constitué un bon catalogue dans les 11 disciplines disponibles à ce jour. Toutefois, un abonné français de Fitness+ n'aura pas accès au même choix qu'un américain, un constat que des utilisateurs dans d'autres pays européens ont fait aussi. Fitness+ est passé cette semaine de 6 à 21 pays.
Lorsqu'on compare le catalogue canadien de Fitness+ (ouvert là-bas depuis le début) avec le français, il peut y avoir de sacrées disparités :
Fractionné HIIT : 168 au Canada (53 en France)
Méditation : 86 (idem)
Yoga : 219 (70)
Gainage : 137 (49)
Renforcement : 157 (62)
Pilates : 20 (idem)
Danse : 101 (33)
Vélo : 243 (74)
Tapis de course : 120 (35)
Aviron : 100 (35)
Récupération en pleine conscience : 99 (35)
On remarque d'ailleurs qu'Apple ne communique pas sur le nombre total d'entrainements disponibles — ce pourrait être un argument pourtant — uniquement sur les catégories disponibles.
La raison à ces écarts dans l'offre peut venir d'un retard pris dans le sous-titrage des contenus, pourtant le temps n'a pas manqué depuis un an et c'est à la portée d'une entreprise comme Apple…
Une autre possibilité pourrait être tout simplement les éternelles négociations avec les maisons de disques. Chaque session utilise une poignée de morceaux en illustration sonore et tous sont piochés dans le fonds d'Apple Music. Ce nouveau cadre d'exploitation des catalogues des labels peut avoir obligé à reprendre des discussions pour en obtenir les droits. Et comme cela se fait pays par pays…
En mars 2019, Peloton, le fabricant américain de vélos et de tapis de course d'appartement, qui a un service similaire à Fitness+, avait été attaqué par plusieurs maisons de disques. Le litige portait sur son utilisation de morceaux dans ses cours en ligne. Des titres d'artistes tels que Taylor Swift, Bruno Mars, Britney Spears ou Beyonce pour ne citer que quelques noms.
Peloton avait alors enregistré dans ses comptes annuels des arriérés totalisant 6 millions de dollars pour ces utilisations indues (les plaignants avaient demandé jusqu'à 300 millions de dédommagement). En février dernier les protagonistes ont trouvé un accord dont les termes financiers sont restés confidentiels.
On a vu dans le décompte fait plus haut que certaines catégories d'activités accusaient un sérieux différentiel. Il va s'agir pour Apple d'équilibrer au mieux et au plus vite les jauges. Car dans certaines disciplines, les utilisateurs les plus assidus de Fitness+ risquent de rapidement tourner en rond, comme leurs anneaux.
Le lancement de Fitness+ en France s'est fait lentement et tardivement (dans la journée du 3 novembre) et chez certains il peut encore y avoir un problème de connexion avec l'Apple Watch.
Lorsque vous lancez votre premier exercice, votre appareil de consultation — que ce soit un iPhone, un iPad ou votre Apple TV — va d'abord tenter d'établir une connexion avec votre Apple Watch pour que ses données d'activité soient affichées simultanément à l'écran. Cela permet aussi de gérer les profils des différentes personnes qui peuvent utiliser cet écran.
Et c'est cette phase de jumelage qui tourne en rond. Normalement vous n'avez rien à faire, juste à attendre que vos appareils s'accordent entre eux. Au minimum il faut veiller à ce que la montre soit déverrouillée et son Bluetooth actif. Mais dans le cas présent, au bout d'un moment, la tentative de jumelage échoue et l'app Forme vous propose, à défaut, de regarder le cours sans la synchronisation avec la montre.
C'est un problème que nous avons eu, qui a été aussi évoqué dans les commentaires et qui nous a été rapporté également via Twitter. Après plusieurs essais restés vains, nous avons fini par redémarrer tout le monde : Apple TV, Apple Watch et iPhone et là, bingo, tout a fonctionné comme attendu. C'est le degré zéro des solutions possibles mais dans notre cas ça a suffi.
Les AirPods Pro sont vendus 215 € chez Rue du Commerce, ce qui actuellement représente une bonne affaire. Par le passé ces écouteurs sont descendus allègrement en dessous des 200 € mais depuis la sortie des AirPods 3, la gamme Pro est soit remontée à des prix plus élevés soit les stocks sont vides.
Il y a actuellement deux types d'AirPods Pro en vente. Le boitier de précédente génération — celui proposé ici — est généralement affiché à 259 € partout ailleurs. Il ne va pas faire de vieux os, Apple en a sorti une légère révision dont l'unique nouveauté porte sur l'ajout d'un MagSafe dans le boitier de charge. Il peut donc s'aimanter avec les quelques chargeurs MagSafe disponibles ici ou là et conçus à l'origine pour les iPhone 12 et 13.
Cette révision des AirPods Pro n'a pas changé de prix, ils sont restés à 279 € sur l'Apple Store, d'où ces promos à 259 € sur le précédent boitier et l'intérêt de celle-ci à 215 €, probablement là afin de vider les stocks de l'ancienne gamme.
Les écouteurs sont vendus directement par Rue du Commerce, ce qui devrait permettre d'éviter de tomber sur un clone, et une livraison est estimée d'ici au 10 novembre.