Les écouteurs Beats Fit Pro — assimilables à des AirPods Pro pour les plus sportifs — sont vendus moins cher chez Amazon en Italie que sur le site français.

Une couleur en particulier, le modèle Vert cendré, revient à 193,81 € tout compris au lieu de 230 €. Les autres coloris blanc, noir ou violet ne feront pas beaucoup plus mal au porte-monnaie, ils sont à 195,72 €. Leur livraison est annoncée pour le 9 mai.

En France les différents coloris sont au tarif public de Beats, à savoir 229,95 €. À l'exception du modèle blanc affiché à 216 €.

Test des Beats Fit Pro : des AirPods Pro plus sportifs

Meta aurait prévu de nombreuses sorties matérielles pour les années à venir afin de populariser son métavers. Il faut dire que le dernier casque de l'entreprise est le Quest 2 : un appareil loin d'être obsolète mais déjà sorti en septembre 2020. Pour le remplacer, Meta ne miserait pas sur un unique Quest 3 au tarif abordable, mais bien sur quatre nouveaux casques de VR selon The Information.

Le Projet Cambria, teasé par Meta depuis l'année dernière, sera le futur fleuron de la marque. Il se destine plutôt aux professionnels et le tarif sera « largement supérieur » à 800 $ d’après un porte-parole du groupe. Selon The Information, le casque devrait arriver en septembre et offrirait une qualité d'image haute résolution permettant de lire confortablement du texte en VR. Une amélioration bienvenue qui devrait se révéler pratique pour la productivité en réalité virtuelle (lecture et rédaction de mail, code…).

Comme d'habitue sur ce genre de produit, des caméras vont servir au suivi de l'utilisateur et de ses mains pour éviter qu'il n'aille enfoncer sa manette dans sa TV. Celles du Projet Cambria devraient être en couleurs, ce qui devrait amener de nouveaux usages en réalité mixte. De plus, des capteurs internes devraient analyser les expressions faciales et les mouvements des yeux pour les retranscrire en jeu. La batterie serait située à l'arrière du casque afin d'équilibrer le poids et de le rendre plus confortable.

Le projet Cambria devrait tourner sous l'OS pour VR de Meta, qui est un dérivé d'Android. L'entreprise travaille sur son propre système d'exploitation pensé pour les appareils AR comme VR, mais aux dernières nouvelles, le projet a du plomb dans l'aile. Revoyant ses ambitions à la baisse, Meta aurait pour le moment préféré miser sur une sortie rapide des produits, quitte à continuer de s'appuyer sur l'OS de Google.

Il ne faut pas s'attendre à un monstre de puissance : The Information compare l'appareil à un « Chromebook pour le visage », autrement dit à un ordinateur portable d'entrée de gamme. Une version mise à jour portant le nom de Funston en interne serait d'ores et déjà prévue pour 2024. Deux autres casques (Stinson et Cardiff) devraient eux arriver pour 2023 et 2024, sans plus de précisions. L'entreprise cherchant à rendre la VR accessible à tous, on peut imaginer qu'il s'agira de modèles plus abordables destinés au grand public.

Mis à part la VR, Meta a de grandes ambitions dans le domaine de la réalité augmentée. Le mois dernier, plusieurs informations avaient été révélées sur le Projet Nazare, la première génération des lunettes AR de Meta qui devrait arriver courant 2024. Un équivalent aux Google Glass, plus accessible et baptisée Hypernova, serait également dans les tuyaux.

Depuis un peu plus de six mois Apple a ouvert sa salle de sport Fitness+ en France, en Suisse et dans plusieurs autres pays, à la suite des marchés anglophones qui furent les premiers servis.

C'est une durée suffisante pour dresser un premier bilan de ce service qui — associé à une Apple Watch — transforme un salon ou une chambre d'hotel en salle de sport le temps d'une séances de quelques minutes. Tous les lundis de nouveaux contenus sont ajoutés, des collections d'activités ont été créées de même que des programmes particuliers. Fitness+ n'a pas cessé d'enrichir et de varier son contenu depuis son lancement fin 2020.

Ce qui n'a pas changé à l'inverse ce sont les cours qui restent en anglais sous-titré, les programmes Marchez et Courez non doublés et aucune internationalisation. Fitness+ reste une production fondamentalement américaine.

Et vous, quelle est votre opinion après avoir utilisé Fitness+ ? Plusieurs points peuvent être abordés dans les réponses à cet appel à témoins :

• Avez-vous prolongé votre abonnement au-delà de la période d'essai gratuit, sinon pour quelle(s) raison(s) ?
• En quoi Fitness+ repond-il à vos besoins ? Allez-vous aussi en salle de sport, pratiquez-vous une activité sportive d'extérieur en complément ou pas du tout ?
• L'absence de contenus en langue française est-il un problème pour le suivi des séances ?
• Quel est votre support privilégié pour l'utiliser, entre l'iPhone, l'iPad et/ou l'Apple TV ?
• Préférez-vous plutôt un autre service concurrent ou des contenus sur YouTube par exemple ?

Nous avons ouvert une discussion dans les forums pour recueillir vos commentaires, nous en ferons une synthèse lors d'un prochain article. Merci d'avance !

L'électrocardiogramme de l'Apple Watch est en mesure d'alerter un patient atteint d'insuffisance ventriculaire gauche (ou insuffisance de la pompe cardiaque), avec l'aide d'un algorithme mis au point par la clinique Mayo. Et ce, malgré l'unique dérivation du capteur ECG de la montre.

Pas besoin de passer un électrocardiogramme complet en clinique, qui comprend douze dérivations et qui est autrement plus compliqué à réaliser que sur l'Apple Watch — il suffit en effet de poser le doigt sur la couronne digitale pendant 30 secondes et bim.

À la base, l'ECG de l'Apple Watch peut détecter une fibrillation auriculaire, tandis que le cardiofréquencemètre mesure le pouls de façon permanente. En cas d'arythmie (battement irrégulier, trop rapide ou trop lent), l'Apple Watch envoie une notification au porteur. Le constructeur pourra ajouter à son arsenal cette alerte d'insuffisance ventriculaire gauche, si d'aventure il intégrait l'algorithme développé par le fameux réseau américain de cliniques.

Cette insuffisance touche de 2 à 3 % de la population mondiale, et jusqu'à 9 % chez les personnes âgées de 60 ans et plus. Cela commence à faire du monde, ce d'autant que l'IVG n'est pas nécessairement accompagnée de symptômes (l'affection peut toutefois être associée à une respiration difficile, au gonflement des jambes ou encore à un rythme cardiaque qui s'accélère).

Dès que le médecin sait qu'un patient est atteint de cette maladie, il peut agir en conséquence : il existe des traitements. Encore faut-il le savoir… Un diagnostic d'insuffisance ventriculaire gauche s'obtient avec un échocardiogramme, un scanner ou une IRM. C'est là qu'intervient l'Apple Watch, sur laquelle il est très facile de faire un ECG. Pour concevoir cet algorithme, les chercheurs ont modifié celui qui sert avec un électrocardiographe à douze dérivations.

Il a fallu exploiter l'intelligence artificielle pour adapter cette technique à un ECG doté d'une seule dérivation. Pour vérifier et affiner les résultats, une étude a été organisée auprès de 2 454 participants de onze pays, possesseurs d'iPhone, de l'app Mayo Clinic et d'une Apple Watch Series 4 ou plus récente, qui ont envoyé plus de 125 000 électrocardiogrammes sur une période de six mois.

Selon les données préliminaires, l'algorithme donne des résultats aussi bons ou légèrement meilleurs qu'un test traditionnel. « L'analyse avec l'intelligence artificielle de l'ECG d'une montre est un test puissant pour identifier l'insuffisance ventriculaire gauche », se réjouit le docteur Itzhak Zachi Attia, responsable IA au département de la médecine cardiovasculaire de la clinique Mayo.

Ce test démontre en tout cas que l'ECG de l'Apple Watch, bien que limité avec sa dérivation unique, peut fournir des informations médicales utiles. De quoi renforcer l'usage « clinique au poignet » de la montre.

Entretien : les cardiologues face à l’ECG de l’Apple Watch

Le métavers, il y a ceux qui en parlent, et ceux qui le font. Snap est en effet aux avant-postes de ces univers avec les Lens de réalité augmentée dans Snapchat. L'application offre pléthore d'expériences AR intégrant des objets virtuels dans l'environnement de l'utilisateur, voire carrément sur l'utilisateur (vêtements, maquillage, coiffures, ou tout simplement des filtres).

Et cela va aller en s'amplifiant. À l'occasion du Snap Partner Summit, l'éditeur a certes dévoilé son drone Pixy, mais il a également multiplié les annonces qui creusent le sillon de ses développements de réalité augmentée. À l'image des Location Based Services, qui permettent de créer des expériences AR localisées, comme cette grande roue en Lego accrochée à un immeuble à Londres (ci-dessus).

Et ça fonctionne : la communauté de créateurs Snapchat a mis au point plus de 2,5 millions de Lens AR, qui ont été visionnées plus de 5 000 milliards de fois. Pour eux, utiliser la réalité augmentée pour faire passer un message est devenu naturel et efficace. C'est le message que veut faire passer Snap auprès des annonceurs.

Dans une interview au Figaro, Evan Spiegel le fondateur et patron de Snap semble se réjouir et s'agacer un peu quand on évoque le « métavers ». D'un côté, les marques n'ont plus que ce mot à la bouche et cherchent des débouchés pour leurs budgets pub : ça tombe bien, Snapchat avec ses années d'expérience leur dresse le tapis rouge.

« Les marques n'ont pas toujours compris la valeur de la réalité augmentée », déplore Spiegel, mais il fait contre mauvaise fortune bon cœur : « Mais maintenant qu'il y a tout une excitation médiatique autour du métavers, nous sommes de plus en plus approchés par des annonceurs qui nous demandent comment nous pouvons travailler ensemble. Tout cela aide clairement nos discussions ».

Les campagnes de pub en réalité augmentée, ça marche assure-t-il : « Cela fait deux ans que nous pouvons leur montrer des résultats concrets grâce à nos filtres d'essayage virtuel de vêtements ou d'accessoires. Nos données sont claires : cela permet de booster les ventes ». Exemple de ce qu'il est possible de faire ci-dessous avec des baskets Puma :

Pour le moment, la réalité augmentée est « restreinte dans les petits écrans de nos smartphones ». Il est encore impossible de s'immerger dedans. « Pour réaliser le plein potentiel de la réalité augmentée, nous devons explorer de nouvelles voies ». Et cela passera par des lunettes comme la dernière génération des Spectacles : elles ne ressemblent pas à grand chose et personne ne voudra porter ça dehors, mais c'est un premier pas.

Snap dévoile de « vraies » lunettes de réalité augmentée

Spiegel admet que « c'est un défi techniquement difficile, nous avons encore beaucoup de travail devant nous, mais les prototypes permettent d'avoir un aperçu du futur ». Selon lui, les « vraies » lunettes AR, celles que le grand public pourra porter sans passer pour des extra-terrestres, ne sortiront pas avant cinq ans. Pour y parvenir, Snap pourra compter sur les technologies de la start-up française NextMind fraîchement achetée. À terme, elles permettront d'interagir avec la réalité augmenté « par la simple pensée », assure-t-il.

Le capteur de température du corps fera-t-il finalement son apparition dans l'Apple Watch Series 8 ? Dans un fil Twitter dont il a le secret, Ming-Chi Kuo ne se fait pas catégorique sur le sujet, mais il pense que ce n'est pas impossible. Apple aurait en fait annulé ce capteur avec la Series 7 — la rumeur l'avait annoncé et puis finalement non — en raison non pas du matériel, mais du logiciel.

En l'occurrence, l'algorithme a « échoué à se qualifier » avant la phase EVT (le test de validation de l'ingénierie) l'an dernier. On imagine qu'Apple a poursuivi le développement logiciel et si ce fameux algorithme donne satisfaction, alors la Series 8 pourra intégrer le capteur¹. Récemment, Mark Gurman de Bloomberg faisait preuve de plus de prudence, même s'il avait entendu dire que le thermomètre était toujours sur la feuille de route pour le cru 2022.

Température de la peau, pression artérielle, glycémie : des perspectives lointaines pour l'Apple Watch

Selon l'analyste de TF International, si le capteur est évidemment important, l'algo est lui essentiel. Une mesure précise de la température du corps doit prendre en compte la température de la peau qui varie beaucoup en fonction de l'environnement extérieur. Il revient au logiciel de pondérer ces variations pour obtenir un calcul précis.

Samsung est d'ailleurs confronté au même problème, selon Kuo. Il se pourrait que le constructeur ne réussisse pas à trouver la martingale pour sa Galaxy Watch 5, prévue pour le second semestre, et qui elle aussi est censée prendre la température.

Avant l'Apple Watch, la Galaxy Watch pourrait prendre votre température

AirPods, AirPods 2, AirPods 3, AirPods Pro, AirPods Max… En 2022, Apple propose un certain nombre d'écouteurs sans fil et de casques audio, sans compter tous les produits Beats. Aujourd'hui, nous nous demandons combien d'écouteurs différents d'Apple sont en votre possession pour accompagner votre quotidien.

Sortis en 2016, les AirPods ont parcouru un bon bout de chemin. En l'espace de six ans, Apple a proposé trois générations de ses écouteurs phares : les AirPods 2 en 2019, suivis par les AirPods 3 à la fin de l'année 2021. À ce sujet, et pour les moins décidés d'entre-vous, retrouvez notre guide d'achat : AirPods 2, AirPods 3 ou AirPods Pro ?

En 2019, les AirPods Pro sont venus agrémenter l'offre d'Apple. Un an plus tard, c'est l'AirPods Max qui est arrivé dans la gamme et sur la tête des consommateurs.

Aujourd'hui, combien d'AirPods différents possédez-vous ? N'hésitez pas à nous donner votre réponse ci-dessous.